OU PAS.

 

Nagato, vieux camarade,

Toi qui avait le rire si doux, la répartie si leste, l'esprit si affuté.

Ô toi, le Wakka, le Lulu, que dis-je ! Le Tidus de Gameblog !

Celui dont même la prose était asymétrique !

Crois-bien que tu vas nous manquer.

La justesse de ton orthographe, l'élégance de ta syntaxe, la perfection de ta grammaire et surtout, surtout, l'infini de ta gentillesse, la largeur de ton ouverture d'esprit et la spiritualité de ton sens de l'humour resteront gravés dans nos coeurs, et seront à jamais, pour nous, mieux qu'un modèle, un Idéal.

Tu laisses un vide, camarade.

Comme quoi, jusqu'au dernier moment, tu auras été fidèle à toi-même.

Qu'il est injuste, par conséquent, de devoir te dire adieu si tôt, alors même que tu ne commençais qu'à peine à nous régaler de tes bons mots et de tes réflexions qui, chaque fois, ouvraient un abîme intellectuel sous nos pieds.

Mais la plèbe, hélas, on le sait bien, jalouse et conspue les grands intellectuels de son temps : elle les malmène, elle les maltraite, elle les écarte, tant elle craint leurs lumières et leurs éblouissements (pour ne pas dire, même, leurs aveugements).

Mais ce n'est qu'un au revoir, mon ami, car gageons que nous te reverrons bientôt, sur ce site ou un autre.

Et là, sois sûr que nous t'accueillerons avec tout le respect, la déférence et l'amitié sincère qu'une âme si belle et noble mérite en abondance (lapidé au Dinosaurus, ça peut être une belle fin aussi, remarque ;) ).

 

Mais avant de verser une larme d'émotion, réjouissons-nous tous ensemble de l'arrivée discrète de deux petits nouveaux très prometteurs, et qui auraient plu à coup sûr à notre regretté Nagato :

Ryuuzaki, Yuichi, Ueki, BIENVENUE.

Vous êtes ici CHEZ VOUS.

Nous comptons sur vous pour marcher dans les traces de notre regretté compagnon.