Grande première sur ce blog : un post MMA.

Ou plus exactement un post "Aimez-moi".

Ou pour le dire différemment, encore : "zéro tracas, zéro (presque) blabla".

Oui, vous avez bien lu.

N'essayez pas de régler votre écran d'ordinateur. 

Vous n'êtes pas victime d'accouphènes visuelles, ni de l'ivresse des non-profondeurs.

Pas de discours ronflants qui font ronfler, pas de loghorrée narcissique interminable : c'est tout ton univers mental, lecteur, qui s'apprête à s'effondrer sur ses bases.

Car aussi contre-nature que cela puisse paraître, ce post est garanti pavé-free sous contrôle d'huissiers.

D'abord, parce que le temps libre est une denrée plus rare encore que le bon goût chez "un certain designer" travaillant pour "un certain éditeur de J-RPG". Ensuite, parce que contrairement aux apparences, ce blog vit plus ou moins ses dernières heures (de gloire, en tout cas). En conséquence de quoi les plus chanceux d'entre vous pourront-ils bénéficier de soldes jusqu'à - 85 % sur la taille des articles, et jusqu'à - 99 % sur l'originalité du contenu, voire sur le contenu tout court.

Et ça tombe plutôt bien puisqu' ayant pu, enfin, m'aménager un coin geek avec les moyens du bord (et un peu ceux du milieu aussi), voilà que je me découvre heureux possesseur de ce qu'en jargon de Joniwanie (un pays comme la Suisse, mais en plus riche) on nomme une "COLLECTION". Non que je sois un collectionneur pour autant, ne nous méprenons pas (et j'ai envie de dire : vous d'abord, en la matière)... seulement je suis un acheteur compulsif, doublé d'un fieffé curieux, si bien qu'au fil du temps, sans trop m'en rendre compte, j'ai cumulé et entassé une quantité non négligeable de brics et brocs complètement inutiles et donc indispensables (comme disait l'autre).  

Et quel bonheur de les redécouvrir comme au tout premier jour alors que, pour la première fois depuis des années, j'y ai à nouveau libre accès, sans risquer d'être enterré vivant sous l'incarnation plastique de ma cupidité. 

 

Je vous propose donc une petite visite privée chez moi "comme pour de vrai", à la seule différence que vous n'êtes pas obligé de coucher à la fin pour me remercier.

Je sens que certains sont déçus, mais ce n'est que partie remise.

 

Oh, et vous pouvez cliquer pour aggrandir et chercher du dossier, ou des idées d'achats ultérieurs.

Vous y trouverez les deux en abondance.

C'est fait pour.

 

 Vous qui entrez ici, prévoyez un gros sac.

 

 

Si le gros sac est déjà dans la chambre, c'est que c'est moi.

En fait.

 

Pandore, Siegrief, Orphée et Myu du Papillon ont quitté le Sanctuaire ("le Cashconvertaire" serait ici plus approprié) pour monter la garde devant la correspondance de Tolkien et la contrefaçon du model kit de Gai (Shurato),

souvenir amer d'une Japan Expo 2011 où j'ai acheté un peu n'importe quoi quand même.

 

 Oui, les meubles étaient fournis avec la pièce. Je n'allais pas en acheter exprès, parece que ça coûte de l'argent et que du coup, on peut moins acheter de machins et bidules à entasser.

Je l'ai précisé, ou pas, que j'étais pas un vrai collectionneur ?

 

 

Oui, je l'ai précisé

Il s'agissait d'une question piège.

C'est moi qui ait écrit les lignes de cet ersatz d'article (oui, je sais, cher habitué à la Home de Gameblog, faire les choses soi-même, c'est un concept un peu déroutant), je suis donc parmi les mieux placés pour le savoir. 

 

 

 La collection de beaux livres, et notamment toute ma doc sur les Fées (avec en pièces maîtresses du Brian "Dark Crystal/Labyrinth" Froud et du Alan "Lord of the Rings" Lee). Oui, j'ai de la doc sur les Fées, parfaitement. Je sens bien que ça vous perturbe : il y a une bonne raison à cela, mais je ne vous en dirais pas un mot.

Les Rôlistes verseront leur larme en reconnaissant la tranche du livre de règles de Changelin : le Songe (une des déclinaisons les plus intéressantes du Monde des Ténèbres). Moi aussi, du reste, j'en verserai autant vu que je n'ai jamais eu l'occasion de mettre en pratique tout ce que j'y ai lu (à part le combat à la hallebarde, mais c'est une longue histoire). 

 

 

 

Edward, d'humeur particulièrement badine, sculpte un ange de glace sous les yeux aussi admiratifs que

crevés du petit garçon avec des clous dans les orbites, un des protagonistes du receuil Burtonien :

"La triste fin du petit enfant huitre et autres histoires".

D'ailleurs, l'enfant-huitre n'est pas loin.

 

 

 Premier détail : les livres de poche (il devrait y en avoir biiiiiiennnnn plus que ça, mais depuis que j'écris, je n'ai plus le temps de lire - et surtout, je crains la "contamination stylistique", à juste titre).

Avec, juste au-dessous, la première partie des mangas, classés par ordre alphabétique

(ça m'a permis de réviser un peu, non sans tatonnements). Sur les deux étagères supérieures : les séries terminées ou que j'ai lâchées en cours de route. Sur l'étagère inférieure, mes séries en cours. Avec les City Hall en version standard ET en version collector (offerts par Ryuukusan, dont deux dédicacés ! Et comme j'en avais déjà un moi-même...)

 

 Deuxième détail : les jeux PS One (si vous n'arrivez pas à lire les plus petites tranches, on y trouve notamment Chrono Cross, Final Fantasy Tactics, Einhander, Legend of Dragoon, Jojo's Bizarre Adventure, Gensomaden Saiyuki, Marvel versus Capcom et X Men Child of the Atom)... avec, en invité d'honneur, le Final Fantasy VI dédicacé par Sakaguchi que m'a offert (plus que généreusement) le félin Kaminos au dernier Noël de Gameblog. Gardé, comme il se doit, par Tina perchée sur sa Magitek Armor.

Le tout suivi, bien sûr, par la suite des mangas (avec une vraie casserolle sur la toute fin, je vous laisse chercher ça).

 

 Premier paradoxe spacio-temporel  d'une longue série : la fin du classement alphabétique des DVDs "cinéma",

et cachée dans son coin, la plus que honteuse section "bluettes" de l'époque de quand

j'étais romantiquement à fond sur le talent d'actrice de Jenifer Lopez.

Puis la fin (ou pas loin) des mangas, parce qu'il en faut bien une (mais pas trop).

 

 

 Le coin "hater de Square Enix" avec que-du-bon : la figurine de Snow, celle de Sephiroth, le médaillon de Squall, l'édition coffret collector de Final Fantasy VIII (généreusement offerte par Locutus), le coffret soundtrack collector de Final Fantasy XIII-2... Si avec ça, je ne fais pas la couverture de sado-maso magazine...

(Manque le coffret soundtrack de Dissidia Duodecim, caché derrière le dépliant promo collector). 

 

 Balthier et Baltringue. LOL :D

 

 La collection de jeux PS2, la plupart  restant "en attente". Autant dire que je n'aurai besoin ni de passer à la next gen, ni de passer à la next next gen. Parmi les tranches illisibles, on trouvera : Gundam : Federation versus Zeon et Naruto Shippuden je ne sais pus trop combien.

Avec en déco un Mario Kart (dans tous les sens des termes) offert par P.Y.T., des stickers Final Fantasy offerts par Vicporc, un fantôme de Luigi's Mansion offert par Ryuukusan 

et une authentique cassette de jeu Paperboy originale offerte par Locutus again.

 

 Dante et Mario dans l'intimité : le rouge est à l'honneur.

 

Et puisqu'on parle de rouge, le plus célèbre d'entre eux (après Karl Marx) : Hellboy, flanqué de son fidèle Johann Kraus de combat. D'aucun diraient "sa douce amie Johann",

mais ceux-là seraient avisés de courir vite et de commencer dès maintenant.

 

 La partie supérieure  des meubles : du Kingdom Hearts, du Doctor Who

(dont un Tardis presque au 1/1ème offert par l'ami Karas) et un singe à perruque.

Normal.

Cette pièce est censée représenter l'intérieur de ma tête.

 

Les CDs Japanim', première partie (manquent le très dispensable FullMetal Panic et le très réussi Flag).

J'attire par vailleurs très innocemment l'attention du lecteur sur la tranche verte dans le dos de Snow. <3

 

 

 Les Cds Japanim', suite et fin... et le début de la section "B.O. de jeux".

 

 Les B.O.s de jeux, suite et fin (avec les deux exemplaires du soundtrack de FF-X2,

offerts par SNKForever/Minmay et Mr Furieux)... puis le début de la section "séries TV"., vous avez compris le principe.

 

 Les B.O.s de séries TV, suite et fin... et le début de la section "cinéma".

 

Les jeux GBA en version boîte (le Shining Force n'étant là que pour la figuration, ne m'appartenant hélas pas. D"'un autre côté, mon Final Fantasy tactics est absent du cliché, alors ça équilibre),

la suite et fin des CDs de films ainsi que la suite et fin des CDs "varièt' internationale". 

C'est la fête au joyeux bazar, surplombé d'une superbe reproduction d'artworks d'Amano sous cadre, offerte par P.Y.T.

 

 

 

 Quelques jeux de carte décalés, des rouleaux de papier toilette, un Doraemon qui se dandine au soleil et un autographe de Dirk Benedict (l'Agence Tout Risque, Battlestar Galactica, ...).

L'intérieur de ma tête, je vous dis.

 

 L'antre des coffrets collector (il manque la FMA Brotherhood offert par P.Y.T., qui est arrivée après et que je ne sais toujours pas où placer), une montre gousset Full Metal Alchemist et autres facéties ornementales.

 

 L'intégrale des Full Metal Alchemist, suivie de l'intégrale des Utena.

Comme ça.

Sans raison.

 

 Les Manhwas grand format. Si vous me trouvez les autres volumes de Little Queen, je suis preneur.

 

 Le contenu de l'armoire magique 1 : les artbooks et mangas import grand format.

Avec en guest star trois bouquins venus tout droit de la collection de Tiger Suplex. :)

Juste au-dessous : les DVDs collector import , deux mangas VO et la section dédiée à Trigun.

 

 Le contenu de l'armoire magique 2 : les films live japonais et les mangas import.

Juste au-dessous : la section spéciale Doctor Who. Pour ceux qui seraient durs de la comprenette.

Accessoirement, c'est ce qui me permet de tenir Snake_in_a_box à distance respectable.

Guest Starring : le 11ème doctor lego-style, offert par Ryuukusan.

 

 

 Le contenu de l'armoire magique 3 : la section "Clamp quand c'était trop bien".

Juste au-dessous :les BDs européennes et les comics,

où le De cape et de Croc offert par Snake est en très très bonne compagnie..

 

Les mangas moyen format et BDs européennes petit format (il manque 1 Saiyuki et 3 Sentai School, restés dans les cartons. Snif).

A côté : la suite et fin des jeux DS (nouveau paradoxe inside),

et la petite collec de jeux 3DS (dont la plupart sont en attente aussi). 

 

 Le carnet de bord de City Hall (dédicacé !), produit dérivé d'un global manga à découvrir d'urgence, et la reproduction du Journal des Choses Impossible (Doctor Who, saison 3).

Avec en prime la collection de jeux GBA en lose, et notammment le Shining Force offert par Spades.

(quelques autres titres sont rangés dans des boîtes de jeux DS, vu qu'il y a des emplacement pour).

 

 Les Cds gravés estampillés OCRemix, avec pas mal de Squaresoft dans le tas.

Quelle-sur-prise.

 

 Quelques peluches appartenant à P.Y.T., un coussin réalisé de ses blanches mains un peu foncées quand même,

et un cadre-cadeau, censé symboliser notre couple. :)

 

 Mes peluches, au premier plan.  

Celles de PYT au second.

Quand même.

C'est chez moi, à la fin.

 

 Mes tee-shirt "Japan Expo".

Haters gonna hate. :lol:

 

 

 

 Mon ancienne sacoche de travail, qui annonçait plutôt bien la couleur quand j'animais un atelier manga.

 

 Le coin qui reste "à aménager", notamment du côté de la SupergrafX (si j'arrive à trouver un adaptateur secteur adapté) et pour l'Atari STF (l'espoir fait vivre, il ne tiendra jamais dans un si petit espace).

Avec, sous cadre, la reproduction d'un magnifique tableau signé François Amoretti

(auteur de Burlesque Grrrl, dont le volume 2 est d'ores et déjà dispo !) à ses débuts.

Sur un autre mur, j'ai même droit à l'original d'un petit portrait de ma personne, réalisé par ce même (et cher) Fanfan.

Oui, vous me haïssez. Et pour une fois, exceptionnellement, vous avez raison.

 

 Les consoles portable ont migré sur le meuble rangement "de la honte" (de par son aspect uniquement).

On y trouve quelques bouquins inclassables, des vieux comics VF, quelques magazines, prospectus, posters collector et autres Livres dont vous êtes le Héros jadis offerts par Spades, Locutus et Kalakoukyam. Le dernier tiroir sera occupé par les vieux magazines de jeu vidéo (Joystick, Joypad, Megaforce, Player One)

que je redescendrai du grenier quand j'aurais le temps de les trier (LOL).

 

 L'étagère cinéma, partie 1. Avec des versions director's cut pour Dark City et Donnie Darko. Obligé.

 

 L'étagère cinéma, partie 2. Que du (presque) bon !

 

 Les étagères séries TV, la saison 2 d'Hero Corp en moins.

 

 La section japanim'. (ne manque que Casshern Sins)

Guest Starring deux Monopoly, dont l'un ne m'appartient pas.

Je vous laisse deviner lequel.

 

 Le détail 1.

 Le détail 2. Avec le coffret Elfen Lied offert par Luciole.

 

 La collection de jeux DS. Dont la plupart sont, ô suprise, "en attente".

Et dont quelques-uns sont en lose dans la boîte de quelques autres (Full Metal Alchemist, notamment)

 

 Le tiroir au trésor, 100% Yoshitaka Amano : artbooks (dont celui offert pas Karas), catalogue (offert par P.Y.T.), calendriers, jeux de carte, magazine collector... et bien sûr l'édition limitée de The Sky, spécial Final Fantasy.

 

 Une vue d'ensemble après aménagement.

Vash the Stampede orne désormais le mur côté section Trigun, et un Gundam a obligé Balthier à se rapprocher de ses collègues d'infortune (ces collègues constituant à eux seuls les 9/10ème de l'infortune en question.

Mais j'me comprends. Et lui aussi).

 

 La preuve.

 Le petit dernier, donc, triomphalement posté sur la très dispensable section varièt' française et internationale.

 

 Merci, Cash Converters.

 

 Un Dalek au 1/1ème, offert par P.Y.T., pour protéger la section Japanim'.

On ne sait jamais.

 

Quelques aménagements supplémentaires suite à la migration de la DS et de la 3DS.

Guest Starring : un dossier de presse Ankama aux couleurs de City Hall. Dédicacé aussi, ça va sans dire.

Deux fois. <3

 

 Et... c'est à peu près tout.

Mais puisqu'on est lancé dans l'inspide, dans l'auto-satisfait et dans le visuel, en bonus "pour débarrasser", je vous invite maintenant, un pistolet sur la tempe, à découvrir mes trouvailles de la Japan Expo 2013.

Oui, je sais, ça date un peu.

Mais l'espace, le temps, tout ça, c'est tellement subjectif...

Non et puis ce sera l'occasion de démontrer aux sceptiques qu'en farfouillant un peu, il est possible d'y trouver des trucs sympathiques (les cosplayeurs n'entrant définitivement pas dans cette catégorie) et d'y laisser sa chemise et son pantalon (rien à voir avec le cosplay, hein. Je préfère préciser).

 

ça, c'est pour se remettre dans l'ambiance.

Notez que Distant Worlds, le concert symphonique de Final Fantasy,  revient en France début 2014,

et qu'en avril, ce sont les pirates de One Piece qui envahiront les salles de concert parisiennes.

 

 Tentacle Bento, un jeu de cartes fripon qui se moque des clichés du fan-service nippon avec un humour au vitriol.

On y incarne (si l'on peut dire) un extraterrestre tentaculaire sous forme humaine, infiltré dans un pensionnat de jeune filles pour... heuuuuum...

les habitués de l'animation japonaise auront compris.

HONTE A EUX.

 

 Une figurine-surprise à collectionner Trigun : Nicholas D. Wolfwood.

 

 Une autre, à l'effigie du sinistre Legato Bluesummers.

J'ai eu de la chance, je suis tombé sur deux de mes préférés

(car on ne choisit pas. On achète les boîtes scellées et on prie).

 

 L'intégrale de Casshern Sins, la série qui réinvente le mythe Casshern (bien connu des habitués de Tatsunoko versus Capcom), à tiers de chemin entre Karas, Soultaker et galaxy Express 999 :

expérimental, poétique, contemplatif et désespéré.

Must Have, donc.

 

 

 L'intégrale de la saison 3 du Visiteur du Futur, l'une des seules web-série que je supporte et apprécie (qu'on ne me parle pas des Noobs et autres Flander's Company, sinon je risque de devenir méchant. Et personne ne veut ça. PAS VRAI ?). Avec une carte collector du futur jeu qui sera dispo à Noël, Simon Astier dans un petit rôle et, surtout, surtout, un one shot crossover  avec City Hall. De là à dire que je n'ai acheté la box que pour ça...

Quand on aime...

 

 Le Notebook City Hall.

Dédicacé, donc.

C'est un minimum.

 

 Le jeu de cartes vintage "25ème anniversaire de Dragon Quest".

 

 

 Le MAGNIFIQUE Tee-shirt Final Fantasy XIII qui aura fait couler tant d'encre... et de larmes !

A commencer par les miennes :

"comment ? C'est du FF XIII et c'est beau ?

MAIS VOUS POUVEZ PAS FAIRE CA, BANDE D'ENF*IRES !

VOUS POUVEZ-PAS !

LACHEZ-MOI !

SECURITEEEEEE !!!!"

 

 Les soundtracks de Bravely Default et de the World Ends With You.

Ai-je besoin d'ajouter quoi que ce soit ?

 

 

 Le artbook d'Un-Go, l'un de mes très très gros coups de coeur "animation" de l'année, lequel aurait pu devenir le digne successeur de Cowboy Bebop, si seulement il avait eu droit à plus de 14 épisodes.  :(

 

 

Un artbook Persona 4 regroupant une abondante sélection de layouts tirés de la série TV. 

Parce que les layouts, moi, j'adore ça. Et Persona aussi.

 

 

 

Le artbook Tactics Ogre, reprenant à la fois les travaux réalisés à l'époque de sa sortie,

et le matériel additionnel associé au remake (cartes de tarot comprises).

L'ensemble permettant, accessoirement, de découvrir que dans l'ombre de Yoshida Akihiko, il y a Masao Tsubasa, et que ce dernier est presque plus talentueux (même si c'est dur à croire) que son sempai.

 

 

 

Le deuxième tome de l'édition anniversaire des Ultimania Final Fantasy : sans hésiter le plus intéressant et le plus riche des trois (mais ça n'engage que moi). Il met particulièrement en valeur la profondeur vertigineuses des univers du VII et du IX, dont la liberté de ton et l'inventivité éclatent au grand jour, comparés au sérieux excessif et à la prétention (parfois inspirée, l'un n'empêche pas l'autre) de l'opus VIII. Indispensable pour comprendre ce qui ne va plus chez Square Enix.

 

 Et puis accessoirement, on peut y  voir Kweena toute nue. 

C'est pas rien.

 

 FAP FAP MOTHER F*CKER !

 

 Le artbook d'El Shaddai, un jeu auquel je n'aurais jamais l'occasion de jouer (une chance, semble-t-il),

mais dont j'adore +++ la direction artistique. Cétait ça où le artbook de Sho_u Tajima, l'auteur de MPD Psycho.

Le choix ne s'est pas fait sans douleur.

 

 

 

 Enfin, last but not least, un très très gros coup de coeur : un assortiment de Cds "Dohjin" , dont trois singles dédicacés par leurs auteurs, présents sur le stand. Avec, en plein milieu, le CD maxi offert par Vithia.

A savoir : des galettes tirées à très peu d'exemplaires, en indépendant, et produites par

des passionnés pour des passionnés. Et c'est peu de le dire.

 

 

 

ALORS ! QU'EEEEEEST-CE QUI DIT, JONIWAN, HEIN ?

QU'EST-CEEEEE QUI DIT ?

 

 Hum.

Pardon.

Je fais comme mon cheeseburger au Mc Drive.

Je m'emporte.

 

Bref. Voilà pour ce premier et dernier post normal de blog normal.

Tu peux te réveiller, maintenant, et enlever le scotch de la molette de ta souris.

 

Oh, et cliquer sur "j'aime", aussi.

Au point où tu en es...