Faisant la suite de notre histoire à Neko et moi, je vous conseille si vous ne l'avez pas déjà fait, de prendre 5 minutes pour lire la partie 1

La fin de cette partie de notre histoire n'est VRAIMENT pas joyeuse, si vous êtes sensible, je vous déconseille la lecture de ce post...

Et pourquoi je le met ici si c'est vraiment pas joyeux ? Parce que 1: je fais ce que je veux, 2: je me vide la tête là ou j'ai souvent étais réconforter par le passé.

 

A la suite de cette mésaventure de santé, j'ai repris du poile de la bête ! Et ce n'est pas peu dire car, le méchant vétérinaire m'avait tondu au niveau de l'arrière train pour me sondé...

Papa était présent plus souvent car l'hiver il ne travaillait pas beaucoup. Je crois que ce n'était que le matin si ma mémoire est bonne. Nous continuions à faire nos petites sieste à deux, cette période me manque...

Je dors, et tu me carresse Papa s'il te plait ?

 

Et puis, à la suite d'une soirée qui c'est fini je ne sais comment avec ces amis (je ne sais pas trop car Papa m'avait enfermer pour pas que je me sauve, porte du jardin ouverte avec la route et tout ça tout ça...) Nous avons encore une fois déménagé dans un appartement plus grand, avec une GRANDE baie vitré, mais sans jardin car, nous sommes maintenant dans ce qu'il appel le « Centre ville »...

Il y a tout le temps vos machines qui bougent toutes seules et bruyantes, et j'ai eu beaucoup de mal au début quand nous sommes arrivé ici, je n'étais plus trop habitué à dormir avec autre chose que comme bruit de fond les oiseaux et sifflement du vent dans les arbres... Mais je me suis très vite adapté, vous pensez quand même pas que j'allais faire une croix sur mes sieste ! =(^.^)=

Il y a ce que Papa appel un « balcon », je m'y ballade souvent, et peut y sentir ce vent de fraîcheur sur ma truffe, c'est agréable...

 

Le soleil, c'est la vie !

 

Et puis vint les beau jours, Papa ne rentrait au début plus que le soir, des fois très tard, mais il me chérissait toujours autant.

De temps en temps, nous avions la visite de Grand Mère et Grand Père. Vu qu'ils m'embêtaient tout les deux, je les mordaient, mais pas de coup de griffe, Papa me les coupes souvent.

 

Préparation d'une attaque dans 3, 2, 1 ...

 

Et puis, Il est parti pendant longtemps... Très longtemps. Je me suis senti abandonné, Grand Mère passait tous les jours, mais je lui faisait comprendre que c'était Papa que je voulais... J'ai beaucoup déprimé et perdu du poids car je n'avais pas faim, et oui, voir Papa manger m'ouvre l'appétit et je mange en même temps que lui.

Du coup, je n'ai eu d'autre choix que d'attendre, pendant de longues journées... Sans manger, à regardé l’extérieur et les gens passer, en espérant voir Papa revenir...

Et puis, un jour, alors que je ne l'attendait plus, Papa fut enfin de retour ! Mon Papa...

Il était enfin là, et j'ai enfin pu ravoir tout son amour rien que pour moi pendant quelques jours sans interruption ! Puis il a reprit son rythme d'avant, avant de retourné en période d'hiver...

 

Bien au chaud devant le truc qui souffle de l'air chaud, allongé dans mon coussin, j'étais super bien ! J'ai repris avec le temps mon petit bourreler sous le ventre, voir même de trop... Papa m'a ramener chez le vilain vétérinaire, et j'ai eu peur ! Nous sommes reparti a peine quinze minutes après, j'ai étais soulagé... Et c'est a partir de ce moment là que je fut rationné … Comment ça de croquettes à volonté je passe à 50 pauvres grammes par jours ! Tu n'as pas pensais que je pouvais mourir de froid Papa ? C'est l'hiver !

J'ai fondu comme une glace au soleil … Mais j'étais foutrement bien foutu par la suite il faut l'avoué ^^

 

Hein que je suis beau ! Hein !

 

Et le cycle a recommencé... deux fois... Et puis, je ne sais pas trop comment, Papa a ramené une femelle humaine au moment ou les fleurs commence à fleurir, et ou les arbres redeviennent vert, Papa était tout content et joyeux, mais il me délaisser...

Non pas qu'il ne m'aimait plus, mais sa femelle lui prenait tout sont temps quand il rentrait enfin du travail... Heureusement pour moi, elle n'était pas trop souvent à la maison ! Papa redevenait lui même quand elle n'était pas là... Les allez / venue de cette personne faisait a un petit rythme...

 

Et au début d'un dernier été, la revoici, accompagné d'un CHIEN !! Un con de chien qui pu dans mon domaine ! Mais c'est quoi ce délire ! C'est comme ci Papa allez faire ses besoins dans ma litière et moi dans son WC ! Il n'était pas méchant, mais très chiant, il me réveillé toujours en aboyant … Du coup pour me vengeais, quand il allait sur le balcon, je l'empêché de rentrer !

Non seulement ça sentait meilleur dans la maison, mais ça me défouler ! En fait, la boxe de chat c'est super cool !

Cette femelle que Papa avait trouver n'était pas génial, mais elle me donné à manger. En soit, c'est déjà pas mal, mais il fallait que je me dépêche de tout mangé car le chien venait dans ma gamelle...

 

Et puis Papa a quitter son travail pour cette femelle, du coup il était présent tous les jours, mais, c'était sans compter sur le destin qui a décidé de les séparés, lui et ça femelle...

Il a alors commencé à déprimé, ne plus manger, et à boire plus que de raison pour enfin pouvoir dormir car ça tête était trop pleine d'interrogations...

Papa ma pleurait sur la tête, encore et encore en me serrant fort, je ne pouvais rien faire d'autre que de ronronné pour lui faire comprendre que moi, j'étais là et que je ne l'abandonnerai jamais.

Mais ça n'a pas suffit... Je l'ai vu prendre son machin qui vibre et qui fait du bruit, tapoté dessus, puis prendre un rectangle blanc et un bâton qui fait des lignes, il en a fait quelques unes, et il a mangé plein de croquettes blanches. Il c'est écroulait à terre peu de temps après... Je n'ai pas compris ce qu'il ce passé...

 

Puis Grand mère est arrivé avec des gens en bleu et un brancard, je ne l'ai es pas laisser s'approcher prendre Papa en leurs sautant au visage et en feulant, mais j'ai arrêté quand j'ai compris qu'ils étaient là pour l'aidé... Je l'ai vu partir, pour ne le revoir qu'au bout d'un long moment... Affaibli, comme zombifié... Papa n'étais plus que l'ombre de lui même...

Nous sommes fin 2013.