« I get up, and nothing gets me down...
»
« Comme la pilule ... comme le
stérilet .... comme le temps passe. »
Voilà presque quatre
mois que j'ai délaissé cette page que je venais alors de créer.
Mais pourquoi tant de haine et de céréales au blé complet me
demanderez-vous. C'est bien simple, monsieur B. m'a tué (je précise
pour les gens qui se seraient retirés du monde civilisé en juin 91
que la faute d'orthographe du titre est bien évidemment volontaire).
Monsieur B. m'a tué, et ressusciter en 3 trois jours quand on est
pas fils de charpentier, j'aimerais vous y voir. (dans la crainte
d'une attaque en diffamation (il faut me comprendre, ce blog est si
populaire) je tairai le nom de mon bourreau, j'enverrai toutefois
cette information à toute personne m'en faisant la demande postale.
Envoyez votre lettre au courier des imbéciles, 23 quai Conti, 75006
Paris et n'oubliez pas le timbre pour la réponse)
N'oubliez pas le timbre
« ...I like to jump,... »
Cet homme, à l'abri total d'aspectus
populi (je parle latin depuis peu mais ce n'est pas le sujet de ce
billet, j'y reviendrai) a créé un nouveau genre de jeu vidéal.
J'avais ressenti, en jouant au deux très bon titres que sont Assassin's Creed et inFamous, un petit malaise. Pourtant ces jeux,
surtout inFamous, m'avait apporté une expérience vidéo-ludique
assez exceptionnel. Mais voilà, comme une fausse note dans une très
longue partition, quelque chose clochait. Devant mes yeux esbaudis
passait le doute et l'ultime cinématique. (le CNDZ (comité national
de défense du zeugme) vous remercie d'avoir lu cette phrase)
Mais
quel était donc l'objet de mon doute? C'est tout d'abord en
m'essayant au Prince of Persia de l'année dernière que j'entrevis
la réponse. Ce « Prince of Pinder » m'avait assez vite
agacé malgré ses indéniables qualités.
Et hop! Rodriguez!!!
« ...and then go round and round... »
Plus récemment sous les conseils de
gameblog et par le prêt gracieux de mon très cher ami Didier (c'est
ironique, je ne supporte pas ce type) je posais mon pad sur
l'intrigant Mirror's edge. Arrivé au troisième chapitre je ne pus
m'empêcher de transmettre mon ressenti à mon ami par voie de sms
dont voici approximativement le contenu : « Mirror's edge c'est
un peu daubé du cul quand même ».
Puis vint la fin de ces
sept heures de plaisir intense (re-bonjour l'ironie) suivit d'une
réflexion neurophage.
Voilà.
C'était là.
Monsieur B. venait de me
violer, de me tuer et de me revioler. Il avait inventé et m'avait
fait subir, à mon insu, le jeu de yamakasi.
Et là, c'est le drame.
Si tu recules pour mieux sauter, comment
veux-tu...
Mais voilà « le temps passe, les
sauts de puces, les moutons paissent et les vaches qui pissent »
(le sous-titre du blog devrait être boutades et calembours volés),
4 mois sont passés et me voilà ressuscité .... pour combien de
temps encore?? Luc seul le sait.
En vous
remerciant de votre lecture, bonsoir!
P.S.: La lecture de ce blliet d'humeur est fortement déconseillée à toute personne allergique aux parenthèses. Merci de votre compréhension.