Resident Evil 4 est un jeu de légende. Il est aujourd'hui rentré dans les annales du jeux vidéo non seulement comme l'un des meilleurs jeux jamais conçue mais il possède en plus le mérite d'avoir remis du neuf dans une license qui se reposait un peu trop sur ses lauriers. Un jeu qui à été mon premier survival horror et l'un de mes coups de coeur sur cette merveilleuse console que fut la Wii (rip). Mais 14 ans plus tard et un peu aprés la sortie du remake du non moins fameux Resident Evil 2 le quatriéme opus de la plus célèbre franchise de survival horror du monde en à il encore sous le capot ? C'est sur Wii que ça se passe.
Resident Evil 4 sur Wii est donc le portage d'un jeu qui était parue sur la précédente génération de console et qui fait d'ailleurs toujours l'objet de portage sur les générations actuel plus d'une décénnie plus tard (RIEN NE L'ARRETE CE RE4 BON SANG). Un jeu qui à été porté encore,encore et encore et qui détient d'ailleurs si je ne m'abuse le record du jeu ayant subit le plus de portage au monde. Wow. Pas mal ! Mais est-ce tout ? Grand dieux non ! Le jeu nous raconte donc le périple de Leon Scott Kennedy (dit la mèche dans le milieu) qui se doit de se rendre en Espagne afin d'y sauver la fille du president des Etats Unis kidnappée par une mystérieuse secte. Bien évidemment sur place l'amis Léon fera la rencontre de tout un tas d'ABO et d'autres créatures mutante et/ou génétiquement modifié ainsi que des découvertes menaçant le monde entier...
Clichée vous avez dit ? Assurément. Nanardesque ? Plutot oui. Pourtant ce scenar aussi vue et revue soit-il accompagne un jeu tout bonnement fabuleux. Jeu qui se joue donc avec la caméra situé derriére l'épaule de Léon. Ce dernier transporte dans une mallette disposant d'un espace limité,toute ses petites babioles utile allant du spray de soin nécessaire pour soigner les petits bobos,aux boites contenant des précieuses munitions (qui ne seront pas de trop dans ce milieu des plus hostile qu'est l'Espagne made in RE4) sans oublier les gadgets et autres herbes que l'on prendra soin de récuperer tout au long de l'aventure. On se déplace à l'aide du stick analogique de la nunchuk,on accomplis des actions contextuel en général avec le bouton A et on vise à la wiimote. Et non,pas de panique ça marche du feu de dieu: le viseur répond aux doigts et à l'oeil et je n'ai jamais eu de problème à faire exploser la tete de ces foutues Ganados,les ramplaçant des zombies des premiers jeu. Des individus louche dialoguant dans dialecte étranger et qui ont la facheuse tendance d'etre plutot agressif envers les intrus en plus d'etre trés insultant: si vous parlez l'espagnol vous voyez certainement de quoi je parle. Du coup niveau gameplay absolument rien à redire et aussi étrange voir criminel que cela puisse paraitre aux puristes de la manéte le jeu se joue trés bien à la wiimote. Bon évidment Léon se déplace toujours autant avec la prestance d'un camion mais c'est les survival-horrors de l'époque qui veulent cela. La naviguation dans les menues est simple et intuitive et on prend un réel plaisir à viser avec la télécomande pour faire exploser la tete des ennemis d'un bon coup de shotgun. Un gameplay aux petits oignons qui n'à quasiment rien à envier aux jeux d'horreur actuel (sauf pour ce qui est de la vitesse des déplacements la présence d'un foutue demis tour rapide ).
Plus tard notre amis Léon se verra accompagné par Ashley Graham,la fille du président,une jeune femme aux formes avantageuse particulierement cruche et qu'il faudra protéger coute que coute contre les hordes de monstres qui voudront l'emmener loin de vous. Un élément de gameplay plutot bienvenue nous forçant à la fois a garder un oeil sur notre propre vie mais aussi à veiller sur celle de Ashley. Car il va de soi que si la blondinette meurt ou si elle est emmené par un Ganados,c'est game over. Alors oui elle est pas trés maligne, elle gueule pas mal et mieux vaut éviter qu'elle prenne un coup car elle loin d'etre aussi endurante que Léon. Pourtant on s'y attacherait presque. J'ai bien dit presque. En attendant il s'agit d'un élément de gameplay plutot bien trouvé qui renforce le stress du joueur. Car et oui la flippe dans tout ça ? Et bien elle est présente. Présente quand un malade coiffé d'un sac en toile nous cours aprés en faisant rugir sa tronçonneuse,présente quand les bruits de pas de créatures invisible se font entendre dans des souterrains humide,présente quand une créature hybride entre un xénomorphe et un prédator quasi invulnérable nous traque en nous agressant régulierment ou bien quand l'on entend à quelque métres de nous la respiration caractéristique des horribles Regeneradores,créatures n'ayant plus rien d'humain et étant capable de régénerer leurs membres perdue (leurs tetes comprise). Que ce soit par son ambiance ou bien par les créatures qui viennent entraver notre chemin,RE4 plonge en permanence le joueur dans un sentiment d'angoisse. On est en sécurité nul part et comme les énnemis sont décidement bien plus resistant que nous et que plusieurs d'entre eux ont meme la possibilité de nous zigouiller en un coup on est constement sur nos gardes,constement à l'affut,pret à faire feu au moindre bruit. Boss comme énnemis profitent d'un design réussie et tous on une particularité qui en fait de formidables et terribles opposants. Le jeu se veut aussi trés varié dans les environnements qu'il permet aux joueurs de visiter ce qui est un plus non négligable. La bande son se veut excellente collant toujours parfaitement à la situation. Le calme plat et inquiétant laisse souvent la place à la tempete et le jeu s'enchaine à un rythme infernal ne nous laissant que peu souvent le temps de souffler. Et c'est la aussi l'un des poids fort de RE4: son rythme parfaitement maitrisé et cette maniére dont les situations s'enchainent créant de véritables montagnes russe de l'horreur. On survit vraiment dans RE4: bon on est jamais vraiment à cours de munitions le jeu étant plutot généreux pour ce qui est du ravitaillement mais il enchaine tellement les situaions vicieuse et en apparence insurmontable qu'on à souvent l'impression de s'en etre sortie in extremis. Cest pas ça un bon survival aussi ?
Au final Resident Evil 4 est un jeu auquel on peut reprocher pas mal de petits trucs: son scénario cliché,ses personnages pas forcément marquant ou bien nanardesque au possible,quelques petits éléments de gameplay ayant fait leurs temps,une troisiéme partie un cran en dessous des deux premiéres,Léon et ses punclines toute pété (serieux mec) et une Ashley vite fait casse pied. Il nous restes alors quoi ? Un survival horror complet et maitrisé du début à la fin,particuliérement intense avec quelques séquences d'anthologie,un bestiaire varié et horrifique,une ambiance visuel et sonnore qui déboite,une durée de vie plus que généreuse (une bonne quinzaine d'heures) et des graphismes toujours aussi qualitatif meme aujourd'hui. Le jeu à bien supporter le poids des années et aprés 14ans aprés il reste solide visuellement parlant. Et ça tout les jeux de l'ére 2000-2005 peuvent pas en dire autant...
Resident Evil 4 est un jeu pour lequelle j'éprouve beaucoup d'afféction ce qui doit sans doute corrompre mon jugement. Toujours est t-il que encore aujourd'hui Resident Evil 4 est un jeu qui selon moi n'à pas vieillie,qui à sue garder son charme,son magnétisme d'antan. Un jeu de légende sur lequelle je pourrais parler des heures durant mais j'en ai deja trop écris. Si vous l'avez comme moi fait un million de fois pourquoi ne pas y retourner un petit coup ? Et si jamais vous ne l'avez jamais touché qu'attendez vous pour vous le procurer ? Courrez les amis ! On à des armes biologique à dégommer...à moins que ce soit-elles qui nous dégomme.
"Got some rare things on sale,stranger" signé le fameux vendeur de RE4 que l'on à tous plus ou moins lachement abattue au moins une fois. Tu nous manques mec.