Voila, je tiens a remercier Gameblog pour son podcast numéro 163 car celui-ci m'a permis de me replonger dans cet univers si passionnant qui évolue sans cesse. Rien que depuis ce retour, nous assistons a des bouleversements dans le monde du jeu vidéo. Avant de parler des NGP, 3DS, 3D etc., j'aimerais parler un peu de ce monde du jeu, de la vidéo, du jeu vidéo.

Nous sommes régulièrement pointés du doigt du fait de la violence de nos jeux, de notre maturité intellectuelle encore ancrée dans l'enfance et l'adolescence. On peut remonter 20 ans en arrière lorsque Télérama compare Goldorak a Hitler... Cependant, lorsque j'ai montré Uncharted 2 a mon père, poète et intellectuel de la vielle école, ce sceptique de la technologie est resté bouche bée... Il a glorifié tout ce que Gameblog avait souligné : sa beauté, son gameplay, sa richesse en terme de scénario ainsi que sa variété de couleurs et de textures. Cette expérience tend a me faire penser qu'il faut arrêter d'écouter les intellectuels auto-proclamés de la télé et de la radio, le jeu vidéo est sain, il permet de laisser libre cours a son imaginaire, a son plaisir. Cependant, tout comme le chocolat et toutes les bonnes choses, l'abus est dangereux. Le jeu vidéo, c'est excellent certes mais a faibles doses. En effet, pendant les 2-3 premières heures de jeu,, on joue pour jouer, on joue pour s'éclater mais suite a cette période, on se demande réellement pourquoi l'on joue, on ne trouve pas la réponse et on continue de jouer. Moi-meme, il m'est arrivé de passer des apres-midi entières sur Starcraft 2 sans connaitre ma réelle motivation. 

Mis a part cette réflexion, je ne peux que vous conseiller d'avoir d'autres passions, d'autres choses qui vous font vibrer. Que ce soit la lecture, le sport, la musique ou le cinéma, il est nécessaire de se diversifier. Ayant horreur du communautarisme, a la catégorisation des personnes semblable a celle des produits de supermarché, je ne me considère pas "gamer", ni "geek", ni "footeux". Tous ces termes encouragent la fermeture au monde extérieur. Non, je suis pas cela, je suis Samret et j'aime vivre!