La victime meurt face à un assassin. L'assassin, lui, meurt face au monde entier. 

Victoria Thérame

 

 

Assassin's Creed. Débarqué en 2007 sur nos consoles next-gen, ce jeu est devenu en l'espace de 5 ans une licence phare du monde vidéoludique et le fer de lance de l'éditeur français Ubisoft. Qu'on incarne Desmond, Altaïr ou Ezio, le jeu transporte son protagoniste au travers d'époques différentes, toutes aussi captivantes les unes que les autres. Le tout en respectant chronologiquement et fidèlement les dits événements du passé. Personnellement, un de mes gros coups de coeur de cette génération de consoles.

Kinect. Caméra annoncée révolutionnaire par Microsoft, qui a certes bousculé (un peu) notre façon de jouer mais qui n'a fait que poser les fondements du jeu sans manettes. Kinect 2 nous dira à l'avenir si cette technologie mérite bien toute notre attention. Néanmoins, et malgré quelques gros flops (Kinect Star Wars pour ne pas le citer), cette caméra sait nous faire passer des moments agréables lors de soirées entre ami(e)s et complète agréablement bien des jeux se jouant avec un pad.

Assassin's Creed III et Kinect. Rien d'officiel, tout d'officieux. Mais imaginez un instant ce que pourrait être l'association des deux si le deuxième était vraiment cette révolution annoncée. Ne serait-ce pas jouissif de sauter de toit en toit, de se cacher dans des charettes de foin et de faire mordre la poussière à ces foutus Borgia ?! Le rêve n'est certes pas réalisable mais il est permis.

Coluche disait en son temps "On croit que les rêves, c'est fait pour se réaliser. C'est ça, le problème des rêves : c'est que c'est fait pour être rêvé. ". Le futur nous dira si Coluche avait vu juste mais en attendant : rêvons !

 

 

 

 

 

Nombre de visiteurs pour cet article

compteur gratuit