Non, ce blog n'est pas mort ! Déjà sur son chant du cygne depuis quelques années, il a subi de plein fouet le confinement et le télétravail. La continuité pédagogique, ce n'est pas de tout repos. Du tout ! Je n'avais jamais autant travaillé de ma vie, pour des résultats... Qui restent à mesurer. 

Bref, ça n'a pas été foufou, surtout au début, avec de grands coups d'épées virtuels dans une eau toute aussi virtuelle, mais on a réussi à trouver de quoi se détendre, et de nouvelles routines. Du LEGO notamment. Votre fidèle petit Joniwan à joué les citoyens modèles : Tous les soirs à 20h à la fenêtre, et je ne suis sorti qu'une seule fois par semaine au supermarché d'à côté pour faire les courses, et je me suis contenté de claquer du pognon là ou je le pouvait. 

Non, pas dans une copie de Death Stranding ou de FIFA 20 à 70€ pièce. Après mon anniversaire, je suis plutôt allé voir ce qui se tramait du côté du rayon des LEGO, assez fourni au départ. Et chaque semaine, je suis reparti avec un petit (OU UN GROS!) truc. Un petit Microfighters STAR WARS par exemple, ou encore un hélico (payé -40% sans raison apparente) dont la vitre centrale à donné naissance à un projet que je vous montrerais très bientôt. 

 

Mais aussi, très classe, le TIE FIGHTER black ace interceptor (Je crois qu'il débarque de la série REBELS, pas sur) et une mini navette spatiale. Le TIE, bien évidemment, n'a pas été monté suivant les règles. Et il va offrir un stock incroyable d'ailes de toutes tailles pour de futures constructions ! Mais aussi, une démentielle station spatiale ! Livrée avec une navette, un ilot central et trois modules qu'on placer un peu comme on veut. Si on suit la notice, c'est bouclé en 30 minutes. Mais bien sur, je n'ai pas suivi ladite notice. Seulement ses preceptes principaux. J'en suis à la 3e version, je vous montrerais ça à l'occasion. 

Non franchement, c'est cool les LEGOs. Et c'est prenant. Quand tu mets la main dedans, c'est difficile de s'arreter. J'ai fait câbler ma compagne deux-trois fois a cause de ça. C'est terriblement plus addictif que les JV, surtout quand comme moi, tu es un perfectioniste, un esthète, et que tu avances sans notice :3

Du coup je m'en suis tenu au minimum, genre 1 fois par semaine, et un système de tri des pièces, par genre, qui m'aurait bien rendu service il y a 27-28 ans, m'a fait gagner un temps fou. J'ai même pris deux sessions de 'jeu" rien que pour organiser tout ça. 

Là, il pourrait y avoir une photo d'une boite de chaussures avec des sacs plastique contenant divers types de pièces LEGO mais franchement, la photo serait quoi qu'il arrive un peu moche et pas intéressante, du coup on va éviter. Vous pour vos rétines, et moi pour le temps gagné à ne pas chercher le "bon angle". 

Par contre, au fur et à mesure que les semaines passaient, les courses, ça devenait n'importe quoi. Mais genre vraiment. Files s'attente interminables à l'entrée,  et tout comme le paquet de farine et le rouleau de PQ se faisaient rares en rayon, la qualité de la boite LEGO déclinait à vue d'oeuil.  Le camion de glaces FRIENDS ou la montagne HARRY POTTER, bof bof. Mais j'y tenais, à mon petit rituel des courses. ça donnait un peu de sens à tout ça. Mais ça a du coup surtout donné lieu à du craquage, malheuresement. Comme avec ce buggy Hidden Side (la copie cheapos de Strangers Things par LEGO) pas du tout dans le thème de ce que je construit habituellement. La borne d'arcade NINJAGO ne colle pas trop non plus, mais elle m'a donné une idée plutôt sympa, ce qui sera encore l'occasion de faire du teasing pour un futur post de blog LEGO. 

Non, des routines, il a fallu en trouver. Je vous jure, j'ai tenté le post de blog. Les photos des posts qui vont arriver dans les prochaines semaines, je les ai prises en avril pour la plupart. Un rituel à tout de même emergé, pendant 5 semaines. THE LAST DANCE, avec deux épisodes tous les lundis. 

Au dela de tous les débats qui peuvent naître autour de cette série, c'était vraiment cool de revivre cette époque. Les trois premiers titres des BULLS, je connaissais l'histoire, notamment celle avec les BAD BOYS de Detroit, mais je ne l'avait pas vécue, trop jeune. LE sport, c'est venu plus tard, et le BASKET, en 94-95, notamment avec les cartes FLEER à collectionner, et le fait que je faisait une tête de plus que tout le monde, ce qui rend le rebond facile.

Mes idoles de l'époque : Shaquille O'neil et Shawn KEMP. Jordan, je connais, forcément mais il est à la retraite. Il n'y a pas sa carte dans la collection 94-95. Je vis tout de même son retour, le mercredi après midi sur Canal+, et je le vois se faire éliminer par le Magic (qui se fera ensuite fesser 4-0 en finale). L'année suivante, Jordan à sa carte dans la collection, les Bulls font un 72-10 et éliminent le Magic, 4-0 en demi finale, puis en finale, les Sonics, mon autre équipe, sont dépassés malgré tout leur talent. Je vis tous ces trucs en direct et c'est la seconde saison que je suis la NBA. ça commence bien. D'ailleurs, je t'en donnerais moi du "bon camarade de ballon" à propos de Shawn Kemp dans l'épisode 7 du docu !

Mais revenons deux secondes au confinement. A un moment, j'ai craqué, j'ai commencé à me faire livrer des trucs.J'ai donc fait travailler de pauvres coursiers contraints de faire leur boulot dans un climat anxiogène au possible. Mais c'était aux alentours du 11 mai et ça a du coup pu finir dans un relais colis qui avait ouvert ses portes. Et si vous suivez un peu ce blog, depuis quelques mois, je suis bien saucé par les maillots NBA, les retro de la marque Mitchell & Ness, pas les actuels de chez NIKE. Et j'aime bien trainer avec à la maison, comme un pyjama.

Et là on vient de vivre deux mois en pyjama ! J'ai donc cherché à me dégoter mon précieux. Mon choix s'est arrété sur deux collections, aussi marquées que celle avec des fleurs, et deux shorts. Un modèle BIG FACE des sonics - l'équipe n'existe plus depuis presque 15 ans - avec le logo imprimé en gros devant. Ma belle soeur, en visio conférence, s'est foutue de ma gueule en croyant que c'était un short DRAGON BALL Z. Ouais, j'avoue.

L'autre, il est tout aussi particulier. C'est un Short des BULLS cette fois-ci, avec un imprimé à carreaux ! Mention spéciale au patch des finales 96 sur la ceinture. Celui-là, je l'ai eu récemment. C'est con, je n'en aurait pas profité durant le confinement L'autre ça a presque failli être le cas. 

 

Par contre, il faudra qu'on m'explique pourquoi c'est un patch des finales 96 (contre les Sonics donc, l'année des 72 victoires) alors que c'est le modèle de de short de 97-98 (l'année de la "dernière danse" !)

Celui des Sonics, je l'ai récupéré le JOUR du "déconfinement", le 11 mai, si ma mémoire est bonne. Ou p'tet le lendemain. C'est fou comme les jours se ressemblaient même à ce moment là. Mais quoi qu'il en soit, comme par hasard, c'était le jour de l'épisode des finales 96. Ou p'tet que je l'ai regardé que le lendemain, je ne sais plus :')

En tous cas, j'ai pleuré pendant deux heures ce jour là. Déjà avec l'histoire dérrière la mort du père de Jordan. Puis ensuite, dans l'épisode suivant, tout est ressorti le jour du GAME 6 des finales, jour de la fête des pères, justement. Revoir tout ça m'a vraiment marqué. Ces images ou il est au sol, dans le vestaire, avec le ballon du match dans les bras. ça n'avait pas eu le même echo en moi à l'époque. Là, j'ai tout compris. et c'était très fort. 

Avec cette série, j'ai découvert une facette du personnage, le leader intransigeant, que je ne connaissait pas. C'est quelque chose qui ne me plaisait pas chez Kobe Bryant, mais que je respectait beaucoup. On sait en fait de qui il tenait et qui il avait pris pour modèle... Au dela, cette série m'a rapellé beaucoup de très bons souvenirs, et je conseille à tous les amateurs de sport de se pencher dessus. Ce mec est peut être bien le plus grand compétiteur et le plus grand sportif de tous les temps. Il a tout gagné avec une domination assez halucinante. Il s'est relevé quand le sort s'est acharné sur lui. Toujours. Ses adversaires, aussi forts soient ils, n'avaient aucune chance quand il était au sommet de son art. Et même si vous n'êtes pas amateur de sport, la vie de Jordan a mérité une série, et elle mériterait bien un film tant elle est si speciale et emplie de dramaturgie. 

Quand ça s'est terminé, il a fallu trouver autre chose. pour combler le manque. Ce fut la saison 22 de South Park. toujours aussi bon, et toujours aussi ironiquement vrai. Je me retrouve vraiment dans cette série, ses thèmes, et son cynisme. Avec des épisodes plutôt spéciaux et le retour de vieilles légendes plutôt cool. Je n'ai pas de goodies à vous montrer par contre sur ce coup là. Et je n'en ai plus du tout pour ce post de blog. Enfin si, mais en digital. Et oui, il est temps de parler un peu JV. 

Le confinement s'est ouvert avec le TEST de DOOM ETERNAL et le cahotique lancement du travail à distance depuis la maison. Il a fallu tout repenser, réorganiser, retaper... Bref, on n'est pas pas là pour parler chiffon. Avant DOOM, c'était le tour de NIOH 2. Tiens, ce sera lui, c'est parfait. Il me reste un bon tiers avant d'en voir le bout. Je me lance donc sur NIOH 2, j'arrive vers la fin, puis je me dis "tiens, le premier, je ne l'avais pas fini, pourquoi pas le relancer ?"

En effet, en 2017, après 50h de jeu pour le TEST, j'avais été contrait par la force des choses - Nier Automata, si ma mémoire est bonne -  de le mettre un peu de côté, et en y revenant des mois plus tard. Mais j'avais alors pris une vraie claque décourageante. De celle qui te fait ragequit le genre du Dark Souls pour quelques mois. C'est le moment ou jamais d'y revenir, et en plus ça fera durer le plaisir du 2. 

J'avais déjà le jeu en démat', et le second DLC. Oui oui, le second. L'éditeur n'avait pas envoyé le premier, du coup, je ne l'avait pas testé, mais j'avais quand même eu droit au code du 2. Et pas de 3e forcément. Sur le PSN, la version "COMPLETE EDITION" était à 15€, quand le season pass était lui à 25. J'ai donc opté pour la version complete, qui, surprise, était en fait un logiciel différent de la version de base de NIOH ! J'avais deux icônes sur ma PS4 ! Fait curieux, la complete Edition fait 4/5 Go de moins que la version de base... Mais me voilà donc avec le jeu et ses trois DLC ! Un petit tour, et retour sur Nioh 2.

Je ne suis jamais renenu sur le 2 ! ça aura fait tout mon confinement, et plus encore !

Curieusement, le fait que j'ai marqué tous les derniers trophées "non chronophages" - tous ceux qui peuvent se faire en moins de 200h - hier soir (la semaine dernière : j'ai retenu le post et j'y ai ajouté quelques correctifs) coincident avec la mise en ligne d'un article sur ce blog. 

Les trois derniers trophées des trois DLC, c'est finir le jeu à 100% en NG++. Niveau 350, c'est faisable, mais je vais probablement devoir plutôt avancer dans mon NG+++, voire NG++++ pour me fortifier un peu afin de me faciliter la tache dans les derniers niveau du jeu. Le jeu se speedrune plutôt bien,  et pour peu que de gentils compagnons de niveau 750 m'accompagnent sur les dernières missions plus difficiles et plus longues, ça pourrait faire le 100%.  

Le platine, il ne me reste plus qu'un KODAMA à trouver pour le déverouiller ! Je le garde pour plus tard, et j'alignerais encore quelques platines. Encore plus classes cette fois-ci ! Là je vous fait du teasing sur l'année à venir ! Peut être pour 2021 ? 

Allez, il est temps de conclure. J'espère que ce post "derniers achats" masqué - une vieille habitude ici, un peu perdue - vous aura fait esquisser quelques sourires, au pire. Bises !