Tout avait pourtant très bien démarré. Le CD-i présenté comme un hardware peu malléable cachait beaucoup de ressources pour ceux qui se remontaient les manches avec la ferme volonté de tirer le meilleur partie d'une console mésestimée. Quelques programmeurs à l'enthousiasme débordant ont relevé le délicat défi d'y transposer l'écosystème complexe de Mario et même de le sublimer. Ils n'obtiendront comme autre forme de remerciements que le mépris. L'arrogance démesurée d'un Nintendo en pleine possession de ses moyens mettra du monde sur la touche.
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