Mouahaha ... Vous êtes-vous perdu ou bien profitez-vous d'un temps de pause entre deux articles passionnants pour découvrir un blog, dont vous n'avez jamais entendu parlé, mais qui a l'air trop d'la balle ? Toujours est-il que si vous êtes normalement constitué, vous ne devez pas avoir lu l'édito...  Et donc ne savez absolument pas ce que vous allez trouver dans ce billet d'humeur, comme dirait Marcel (Et vous commencez à vous dire que s'il continue à jouer les Madame Irma vous allez pas mettre longtemps avant de retourner sur 9Gag). STOOOOP ! Reste ici jeune padawan ! Je vais tenter de te faire partager mon humble expérience multi-joueur de jadis, et tâcher de voir où on en est de nos jours...

Je me suis d'abord demandé quel était mon plus vieux souvenir en multi... Et là j'avoue que j'en suis vraiment pas sûr ! Peut-être Barbarian ou Yie Ar Kung Fu sur CPC 6128, mais pas vraiment de quoi casser 3 pattes à une brique ! Du coup je me suis demandé quel était celui qui m'avait le plus marqué... Et la BOUM, c'est bien sûr : Hail to the King Baby !

Jaquette de la version PC

 

Je vous entends déjà... "Mouais... Le seul intérêt de ce jeu, c'était les stripteaseuses ! Et éventuellement le côté débile du scénario solo" ! Allons allons, rendons au King ce qui lui appartient... Car c'est bien en multi que le jeu prenait toute sa splendeur.

En effet, le plus grand Bad Ass de tout l'univers avait déjà à sa disposition bien des attributs (autres que ceux des danseuses pré-citées) que l'on retrouve partout aujourd'hui, et qui ont mis bien longtemps à revenir : un génie avant l'heure, une sorte de Léonard de Vinci en marcel rouge... Les gros guns en plus ! Mais sans plus tarder voyons ce qu'il avait réellement dans le ventre :

Composition des niveaux

La base ! Il suffit de regarder le premier niveau : Hollywood Holocaust. Bien loin de ce qui pouvait se faire à l'époque et encore maintenant... On a à faire à plusieurs étages, bourré de planques, de méchanismes et de recoins où tendre des pièges plus destructeurs les uns que les autres !

 La grande avenue de Hollywood Holocaust, pleine de secrets...

Equipement

C'est là qu'on rentre dans le vif du sujet : c'est bien l'équipement que Duke Nukem 3D mettait à notre disposition qui nous faisait dire à l'époque qu'on ne verrait jamais mieux ! (Bon ... Faut p'tête pas déconner non plus ...)

  • Les bombes à pipe

Ouais bon, nous on appelait ça des bombes à pipe, le nom original étant "Pipe bombs" en anglais... Je vous laisse les mauvais jeux de mots... Le principe nous parait tout simple aujoudrd'hui : je jette autant de bombe que je souhaite, et je fais tout péter quand je veux avec un détonnateur ! Autant vous dire que certains couloirs ou petits espaces s'y prétaient à merveille ! ... Le C4 de Call of Duty a là un ancêtre de taille !

  • Les mines "laser"

Encore un moyen de tendre un piège : des engin que vous fixiez sur un mur et qui projettaient des lasers... Si celui-ci était coupé, BOUM ! Là encore CoD semble avoir pris de la graine avec sa claymore...

  • Le téléporteur

Là on a à faire à du lourd ! Oui oui, je sais, des téléporteurs on en trouve dans plein de jeux... Sauf qu'ici on pouvait aussi téléporter des objets... Comme une rocket par exemple : avant que votre pauvre adversaire ai eu le temps de comprendre votre piège, le voilà éparpillé au milieu de liasses de billets tout droit tombées du string de la danseuse juste à côté...

  • Le rayon "rapetisseur"

Mon chouchou !! Tout est dans le titre, il ne vous restait plus qu'à mettre un gros coup de godasse, et c'était terminé... Mouahahaha ! Ajoutez à ça le fait que vous pouviez jouer avec les miroirs pour faire rebondir le tir, ahhhh Joie !

  • Les caméras de sécurité

Excellente idée qui avait été ajoutée ici : quoi de plus énervant quand on joue à 2 de ne pas trouver son adversaire ! Il suffisait de trouver un PC et de consulter les caméras pour ça... Petit bémol  cela produisait un son significatif qui pouvait alerter vos adversaire aussitôt : pas le temps de rester sur la caméra de la piste de danse !

  • L'holoduke

 

Bon ... Et bien nos chemins se séparent, je suis pas sûr que cet article ait intéressé beaucoup de monde, mais maintenant qu'il est écrit autant le partager ! Et pour finir convenablement... Je laisse le dernier mot au Duke :

Groovy!