Deus Ex : Human Revolution (2011). Le jeu consiste à incarner Adam Jensen, agent de sécurité chez Sarif Industries, grosse usine de biotechnologies. Lorsqu'une attaque par des terroristes se passe, Adam se fait grièvement blessé et doit subir des opérations afin de survivre. Il se retrouve donc être un augmenté, c'est-à-dire une personne ayant des capacités amplifiées par rapport à des hommes normaux. Adam Jensen va devoir percer le secret de cet attentat.

Graphismes : Les détails des personnages vont très loin. Il n'y a pas de murs invisibles. Rien à dire sur les graphismes, c'est du beau boulot. A noter une bande son interéssante. Note : 4/5.

Jouabilité : Au départ, la prise est main est rapide. Dans le jeu, la physique est respectée à un haut niveau, beaucoup d'objets sont utilisables. Les interactions avec les personnages sont pas mal, c'est-à-dire que l'on peut discuter avec tous les personnages, parfois ils nous donnent des missions annexes. Le jeu et sa fin dépendent aussi des actions que l'on fait avec les autres personnages et en fonction de ce qu'on leur dit.  Les adversaires sont bien jaugés, à savoir que la difficulté est croissant comme il faut. Le gameplay est fluide, des actions diverses à faire, il réussit à nous rester éveiller. Le côté futuriste du jeu est attirant. En revanche, les temps de chargement sont longs et fréquents, si on meurt, il faut se retaper les temps de chargement à chaque fois. Note : 3.5/5.

Durée de vie : il faut 12h pour finir le jeu correctement. La rejouabilité est bonne puisqu'il existe plusieurs fins, plusieurs missions annexes par niveaux. Note : 4.5/5.

Scénario : le scénario est attirant, pas exceptionnel. Il est légèrement attendu. Les dialogues sont bien écrits, mais un peu trop surjoué. Ce jeu essaie d'avoir un final trop moralisateur, avec une pseudo-prétention de changer le monde. Il essaie de faire réflechir. Note : 2.5/4.

Conclusion : Le jeu est agréable, un bon moment en compagnie de ce jeu. L'environnement est à noter et la jouabilité est en adéquation avec le scénario.