Après avoir savouré le premier opus, il est tout à fait normal d’espérer une suite, chose faite par les développeurs de Redbarrels qui proposent six mois plus tard un DLC avec l’ambition de captiver une nouvelle fois les adorateurs des survivals horror.

L’histoire, on ne s’attendait pas forcement à un tel dénouement puisque la mort de Miles Upshur dans le premier opus laissé à croire que l’aventure était achevée au moment de sa disparition et que les secrets de l’asile du Mount Massive allaient être enterrés définitivement. Mais il n’en est rien de cela puisque les développeurs ont su prolonger l’aventure grâce à Waylon Park, le dénonciateur, qui a pris la dure décision, mais néanmoins sage, de dévoiler les projets odieux de la Murkoff corporation et c’est là que commencent les ennuis pour lui.

L’ambiance, carrément plus stressant que le premier, whistelblower est malsain, abject et fera sursauter facilement les plus herculéens d’entre nous, il faut dire que les nouvelles idées exploitées par les développeurs sont crédibles avec des scènes épiques et une montée d’adrénaline assurée.

Le Game Play, la prise en main du jeu demeure simple et reprend les mêmes mécanismes du premier Outlast, notre salut vient d’un caméscope et les quelques batteries, bien dissimulées cette fois-ci et qui se comptent sur les dix doigts de la main, cependant les phases de cache-cache sont moins nombreuse et parfois inutiles vu le rythme soutenu qui nous oblige à avancer rapidement dans l’histoire pour ne pas se faire prendre et devoir refaire la partie à nouveau et c’est là où réside la difficulté du jeu.

Les graphismes, là aussi rien de nouveau, des graphismes à la Outlast qui se marient bien à l’ambiance et aux environnements du jeu, à part quelques détails ratés par ci et par là le plaisir du jeu reste le même.     

Conclusion,

Jamais un DLC n’a donné autant de plaisir de jeu, outlast whistleblower est un titre inoubliable marqué par une histoire originale et une fin surprenante et que dire de cette émotion qui nous submerge une fois à l’extérieur du château de mount massive avec une musique captivante qui nous accompagne vers la sortie et en même temps nous donne l’envie d’y retourner tellement on s’attache aux personnages pour qui on éprouve presque de la compassion, malgré une durée de vie moyenne, ce jeu est un incontournable du survival horror et vaut vraiment le détour.