Difficile de parler d'un jeu qu'on affectionne beaucoup sans
s'enflammer. Encore plus quand c'est un épisode d'une saga renomée, la
grande, la belle Final Fantasy. Mais malheureusement pour vous ce
ne sera pas l'épisode 7, ni 6 ni 8 ...mais rangez vos katanas voyons !
Cela devient gênant. Je vais vous parler du plus important
- dixit Hironobu Sakaguchi himself ! - Du plus beau, du plus sensible, du
plus mieux bien - ça c'est de moi - des épisodes, le grand et
tristement oublié :
Ce qu'il faut savoir.
Le joueur incarne le voleur Tantalas Djidane, chargé d'enlever la
princesse Grenat surveillé de près par son bodyguard Steiner sans oublier Bibi un
petit mage candide découvrant le
monde qui l'entoure. L'enlèvement dégénère et mènent nos compagnons
vers
de nombreuses péripéties qui annoncent un mal sous-jacent, Leur
apportant bon nombre de révelation sur eux-mêmes. Ce petit bout de
scénario ma foi fort banal raconte comment des principe fondamentaux
que l'on croit inébranlable peuvent s'effondrer et ainsi tout remettre
en cause dans une vie.
A-t-on besoin d'une raison pour aider quelqu'un ?
Zeu RPG
Le jeu fonctionne sur le même pincipe que ses deux ainés
, décors en 2D
pré-calculé très fin , varié et somptueux, les
personnages sont tres bien animé et modélisé façon Super Deformed, la
Playstation donne tout ce qu'elle a dans le ventre et elle nous en a
cachée des choses. Coté narration, voici
l'arrivé des Active time Event : d'une simple pression sur Select
vous assistez à une scénette d'un des protagonistes qui s'est
séparé du groupe lors d'une escapade en ville. Cela apporte
énormément au background du personnage et l'histoire n'en est que
plus riche. Les scènes cinématique sont sublime du jamais vu pour
l'époque , les musiques signé Nobuo Uematsu sont enchantés et
éclectiques. Tout les ingrédient sont là pour nous transporter dans une
autre monde Amano (et Nomura un peu quand même...), Uematsu et Sakaguchi.
le trium vira du JRPG vous offre un monde onirique incluant sont lots
de drames et de questionnement le tout accompagné d'une superbe
aventure airpégièsque.
Le système de combat est somme toute classique mais efficace, le
bon vieux tour par tour accompagné de l'Active Time Battle, une
jauge de furie se remplie progressivement après chaque coups
encaissé, désormais 4 personnages peuvent prendre part au combat .
Les compétences sont liés aux armes et équipements,elles s'apprenent grâce au points de compétences aquis en combat.
Une fois apprises il est possible d'activé les compétences que l'on
souhaite. Elle ne sont pas toutes activable en même temps , il
faudra donc faire des choix. Les chimères arrivent au fil de
l'histoire, c'est d'ailleurs pour la première fois qu'elle sont
inclus dans des scènes cinématiques .Voila la formule magique qui selon moi fait de final fantasy IX Le RPG
ultime de ces 10 dernieres années , facile à prendre en mains et pointu
pour les mordus du genre, atteints de collectionite, merci les quetes annexe les objet et les cartes à jouer !
Vivre c'est prouver qu'on vit... ?
Cette épisode sortie en fin de vie de la Playstation fut
malheureusement éclipsé par la génération de console suivante.
Beaucoup le jugèrent trop enfantin, s'arrêtant injustement sur la
direction artistique et le coté globalement niais de la chose. Le
jeu fut bien accueillis par la critique mais pas n'est pas resté dans
les mémoire ( triste
ironie du sort quand on connait la thématique principale du jeux ) et
là je dis NON ! Pourtant le titre met en avant des thème très
lourd à intégrer . La mort, la quête de raison d'être,se savoir oublié
par quelqu'un qui nous est cher, l'affirmation de sois même, les
réminiscences, la fatalité, c'est digne des plus grande tragédie
shakespearienne, vous ne
trouvez pas ? bon ok ça ne finis pas en bain de sang mais il y a tout
de même matiere à relfexion. Je vous épargne les spéculations
philosophique rassurez vous. Mais sachez néanmoins que le héros de
cette
aventure n'est pas forcément celui qu'on croit. Vous en aurez pour une
bonne trentaine d'heure en rushant pour en venir a bout, et en comprendre le fin mot.
Putain 10 ans !
En 10 ans je n'ai toujours pas oublié,
il m'arrive même de relancer le jeu sur ma bécane noire.. pour
cette introduction, cette allumette dans le noire, les apartés touchante deBibi - que je vois personnellement comme le transfert du joueur dans le
jeu -
et ces inombrable instants d'émotions en tout genres. Ces musiques que
je ne me lasse pas d'écouter. Alors que sort aujourd'hui au Japon le
très Attendu Final Fantasy XIII j'avais l'espoir de vous donner l'envie de (re)
découvrir cet opus incompris. Si j'ai réussi, vous m'envoyez ravi
!