Opening
#En quelques mensuels#
On se prend rapidement au jeu de suivre les débuts d’Utopia et à suivre nos protagonistes, si le récit et sans plus et se lit sans trop en demandé certes, on a cependant un petit quelque chose qui fait que l’on se prend facilement dans la lecture, comme je vous l’ai présenté ultérieurement avec Star Wars : Dans l’Ombre de Yavin, Brian Wood a ce talent qui fait que l’on arrive à se sentir impliqué un minima dans l’histoire pour avoir envie de continuer.
Je mettrai un point d’honneur aux dessins de Mahmud Asrar (sur lequel j’avais fait un Lundi hommage…) et qui émerveille encore une fois tellement son trait est des plus splendide, fin, épuré, et j’en passe sinon cet article court à la base risque d’être long.
Je mettrais un mauvais point à Panini qui mets en gros sur la couverture : « SAGA COMPLETE » et quand vous arrivez à la fin, vous avez le droit de lire : « A SUIVRE DANS LE NUMERO D’AVRIL ».
A l’instar du titre présent juste dessus, je m’attendais à beaucoup mieux en voyant le nom de Rucka, qui selon moi maitrise le polar comme un as, un peu à l’instar de quelqu’un comme Brubaker, malheureusement si tout n’est pas à jeter bien au contraire car la lecture est simple et bonne, je trouve le scénario un trop générique, ou tout est propice à la baston.
Je mettrais encore une fois un point d’honneur au niveau du dessin sur ce mensuel est extra, je n’irais pas à dire que c’est ce qui le sauve car le récit est loin d’être catastrophique mais apporte néanmoins un plus qui n’est pas des moindre, on peut donc remercier l’italien Carmine Di Giandomenico (qui avait oeuvré sur par exemple Conan, le Barbare).
Je mettrais un mauvais point, je pense, à la fin qui laisse une ouverture à …(ne peut pas le dire), mais je n’aime pas particulièrement ce genre de choses, car c’est une ouverture beaucoup trop vague à mon gout.
Découverte de Deadpool Killustred que je n’avais pas lu en VO par peur de non compréhension des jeux de mots, et du coup aujourd’hui, je le découvre comme si de rien n’était, avec la peur de voir un truc comme on voit Deadpool depuis un petit moment, ne sachant faire plus que le fanfaron et devenant un guignol afin de plaire au plus grand nombre. La peur était établi puisque ce comics va dans ce sens mais avec un petit quelque chose de plus qui rend la lecture agréable. Sachez que tout se lit d’une traite comme si de rien n’était et c’est un véritable bon signe.
Même n’ayant lu la VO, je mettrais un point d’honneur sur les jeux de mots traduit pour nous ainsi que les références que l’on retrouve de toute part et qui ajoute de la plus-value a ce mensuel. Notons aussi le supplément mettant en scène Lady Deadpool à mon plus grand bonheur.
Je mettrais un mauvais point sur la surenchère de violence sans véritable but, tout avance trop vite et aurait peut être demandé à être plus développer afin d’aboutir à quelque chose avec un sens.
Ending
#En quelques mensuels#
Un ensemble plutôt positif grâce à des dessinateurs pour les deux premiers extra.