Ceux ayant connu l’archer vert grâce à la série éponyme et n’ayant lu ce comics devrait bien s’y mettre, car l’½uvre qui a inspiré la série est d’une grande qualité, quoi fallait que je le dise à la fin pour parfaire au suspense, que neni, j’ai aimé autant le savoir d’emblée ? Et il est vrai que la lecture fut très rapide car, je me suis lancé dedans et pas lâché avant la fin tellement le rythme vous colle à la peau.

Avec un tel récit Diggle touche en plein centre sa « haute »  cible avec un très bon récit et Jock Vise  une « couture » parfaitement comme rarement vu.

Avant d’atteindre sa cible, ce qu’il faut savoir :

Scénario : Andy Diggle

Dessin : Jock

Editeur : Urban Comics

Collection : DC Deluxe

Sortie : 2013

Green Arrow, Year One: Oliver Queen était un millionnaire débauché qui ne s’intéressait qu’à lui-même, jusqu’au jour où il se retrouva naufragé sur une île. La quête pour sa survie l’amènera à découvrir sa véritable vocation : justicier. Les origines du héros par le tandem artistique des Losers, reprises récemment par la série TV ARROW.

Une flèche, pas deux !

Ce récit est à coup le souffle tel un flèche qui fuse pour atteindre sa cible et la cible c’est vous, à n’en pas douter après son excellent travail sur Six Guns ou encore Losers, Diggle signe ci la meilleur histoire que j’ai pu lire de l’archer vert avec des origines de haute volée. On est dans ce que vous avez (ou pourrez) voir plus ou moins en voyant la série TV avec des différences notable quand même mais les origines sont quand même bien retranscrites. Ici la forme et est identique, le fond diffère mais au final le lecteur non initier aux comics ou au perso, si retrouvera facilement.

Le talent de Jock aux dessins en rajoute une couche. Pas bien difficile Jock c’est simple, épuré mais bon dieu que c’est bon (et beau d’ailleurs), j’ai toujours aimé son style et encore une fois, cela ne fait pas exception, je tombe des nu à chaque page et en prend plein la gueule, après je sais que son style, n’est pas apprécié de tous, mais je n’y peux rien, c’est comme ça, y a des dessinateurs que j’aime coute que coute.

Pour ceux ne connaissant pas vraiment le perso, c’est une très bonne entrée en matière, oh que oui, et pour les autres, je pense que cela reste un indispensable de la DC Family.