Après avoir publié la dernière fois un extrait du premier chapitre de Bad Bite, je vous propose aujourd'hui de découvrir le début du second chapitre avec la fameuse scène du sexe tranché. Après un tel acte, la vie de notre "anti-héros" va clairement basculer.
J'en profite également pour vous présenter la couverture définitive de Bad Bite. L'ouvrage va être relu intégralement jusqu'à dimanche pour une publication qui devrait intervenir dans le courant de la semaine prochaine. D'abord dans notre boutique en ligne, sur breviairedesvaincus.com, puis ailleurs (Amazon, Apple...). Bonne lecture !
"Mon coma dura trois jours et trois nuits et je n'aurais jamais dû m'en sortir mais je ne sais pourquoi, sûrement le remords, ou encore un de ses éclairs de lucidité, Jenny appela les secours avant de s'enfuir. J'avais perdu énormément de sang et à mon arrivée à l'hôpital plusieurs transfusions furent nécessaires pour me stabiliser.
"L'opération comportait des risques et on allait tenter sur moi une première médicale. C'est ma femme à qui l'on expliqua la situation par téléphone, qui l'autorisa. Et dans mon malheur, il y eut un énorme coup du sort, et énorme est un bien petit mot.
Mais revenons à cette soirée qui changea le cours de mon existence à jamais.
J'étais donc en plein sommeil mais le viagra avait fait plus que son effet et quasiment atteint de priapisme, j'avais encore une gaule insoutenable. Jenny s'en aperçut et se remit au travail. Je m'éveillai donc de la plus belle des manières et ouvrant mon œil, j'observai cette blonde givrée avec une kippa sur le sommet du crâne entre mes cuisses. Le rêve allait virer au cauchemar mais je n'en savais encore rien sinon j'aurai sauté hors du lit et fui cet appartement de malheur sans demander mon reste. Jenny releva son visage et me fixa intensément de son regard de folle à lier avec l'expression que je lui connaissais et qu'elle avait lors de ses moments les plus dépressifs et hystériques.
- C'est pas d'un moulage de ta bite que je veux, c'est ta queue...
Je ne comprenais qu'à moitié ce qu'elle baragouinait et avec un geste plein de classe, je fis pression de mes mains sur sa kippa pour qu'elle achève ce qu'elle avait commencé. Elle s'esquiva avec vivacité puis d'un geste précis et rapide ouvrit un rasoir au fil brillant puis trancha ma queue encore dure juste au-dessus des couilles. Je poussai un cri d'effroi et de douleur atroce, puis par réflexe j'appuyai mes mains sur ce qu'il restait de ma virilité. Cela ne freina qu'à peine les flots sanguins qui se déversaient sans discontinuer sur Jenny Horny Orgasmus que cette salope avait placée dans le lit. Choqué physiquement, détruit psychologiquement, je m'évanouis pour ne me réveiller que trois jours plus tard."
L'article d'origine : https://www.breviairedesvaincus.com/extrait-2eme-chapitre-bad-bite-couverture-definitive/
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