Test

Deux ans après avoir bouclé sa saga fondatrice Runaway, les madrilènes de Pendulo Studios nous reviennent avec un point & click au titre bien mystérieux. Ayant plié les trois Runaways avec une application et une ferveur grandissante d'épisode en épisode, je dois confesser que j'attendais un peu Pendulo au tournant : allais-je devoir me refarcir les bourdes d'une nouvelle franchise
Je ne sais jamais vraiment comment commencer une critique. Faire un petit topo sur le développeur et ses précédentes productions ? Dépeindre mon attente fébrile dudit jeu ? Essayer de faire croire que j'ai vraiment écrit ce paragraphe en premier, alors que c'est toujours le truc que je bricole en dern...***SHHHHHWWWWWOUUUUZZZZZIIIIIMMMMMM***LECTEUR ! Je sais que je débarque dans un déluge
Le premier Assassin's Creed m'avait laissé un vilain goût de "n'y reviens pas". Une nouvelle franchise next gen, des qualités indéniables et un univers original, malheureusement plombés par un gameplay honteusement répétitif. Au final : trop de hype et pas assez de jeu, mais une première brique prometteuse, sur laquelle Ubisoft Montreal a su bâtir en dur, deux ans plus tard avec une
Ayé ! Les petits gars de Treyarch nous reviennent avec des galettes de leur nouveau FPS plein les poches et autant dire que la nouvelle donnait de quoi claquer des genoux.  Le studio n'en est pas tout à fait à son premier essai lorsqu'il s'agit de se faire une place au soleil des champs de bataille : Call of Duty 3, Call of Duty 5 : World at War... autant de tentatives, autant de coups dans
 En s'attaquant à leur dernier chantier, les funambules de chez Rocksteady Studio le savaient : ils n'avaient pas intérêt à faire n'importe quoi de la mythologie Batman...Batman n'est pas le super-héros tout venant. Ce n'est pas un mutant bardé de bons sentiments, ni le ressortissant indestructible d'une galaxie en perdition. Le Chevalier Noir est le désespoir encapuchonné. Un héros
2050. L'humanité est accablée par une maladie dont les ravages sont sans précédents, la Peste Grise. La misère et la peur engendrent une fracture sociale à l'échelle planétaire. Le gouffre s'approfondit chaque jour à mesure que l'Ambroisie, seul remède connu à l'épidémie, est distribuée aux compte-goutte aux puissants : politiques, militaires, intellectuels.C'est dans ce climat