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"Tu te rappelles Zach? comment s'appelait ce film? Ah oui! The Deadly Spawn, 1983 de Douglas Mc Keon. C'était petit budget mais le monstre était terrible avec ses dents comme des rasoirs..."Un survival horror dans un monde ouvert, avec des références à Silent hill, Killer 7, Forbidden Siren??? J'obtiens le soft à 27 euros, neuf sous blister quasiment le jour de sa sortie... Ca me met direct
"This is the first day of the end of your life"Attention, ce test (et ce jeu ) risquent de choquer les âmes puritaines, et il va m'être difficile de ne pas honteusement sombrer dans la vulgarité dans les lignes qui vont suivre.Datant de 2003, Postal ferait passer GTA pour un classé 3+. Vous incarnez le Dude, qui vit avec sa mère dans une caravane pourrave dans un bled perdu du fin fond des
Bon sang que le film est beau. Drôle, poétique, des personnages attachants, bref un de mes dessins animés préférés. Oui quoi entre deux Vandamme je me fais un Pixar ou Disney et en plus là ils ont bossé ensemble. Je n'ai donc pas résisté à la tentation de me procurer le jeu.Ca commence plutôt pas mal, même si la première scène du jeu semble être la dernière du film. Au commande
Je me rappelle avec émois mes premiers pas dans l'univers de Silent Hill, il y a maintenant plus de dix ans, dans ma petite chambre d'étudiant. Il y a cette musique, ce thème de Yamahoka pour lequel je relançai fréquemment le jeu, juste pour l'entendre, avant de carrément me procurer l'OST. J'ai depuis fini consciencieusement chaque épisode, fouillant chaque recoin de la petite ville, ou
 Après une arrivée très remarquée en 2007, l'Overlord nous est revenu toujours accompagné de ses larbins, toujours plus méchant. Père pardonne leur... mais c'est tellement drôle!N'ayant pas essayé Overlord 1, je suis vierge de toute comparaison et saisi la manette avec  enthousiasme car le jeu avait eu à l'époque un succès certain. Je pense à ces jeux ou vos choix influent sur
Pour sûr le début du jeu cartonne. C'est beau, spectaculaire et Monkey est charismatique (n'oublions pas que l'histoire est inspirée de celle du Roi Singe, Dragonball donc). Aprés un magnifique crash d'avion sur les ruines d'un New York post-apocalyptique le héros se rend compte que ces faits et geste sont dictés par Trip, une jolie rousse un peu capricieuse rescapée comme lui, qui lui a
Ben moi, j'en ai marre de ces jeux de guerre à grands effets, de ces modern warfare qui se sentent obligés d'en faire des tonnes, de ces faux films interractifs où vous passez d'une descente en rappel à un helicopter. D'abord la guerre c'est mal! Medal of Honnor reste fidèle à son concept, suivre l'actualité où des faits historiques, et le fait bien!Certes le jeu est très court mais le
Les créateurs de Bayonnetta font toujours dans l'explosion de couleur. Premières minutes de jeu : on en prend plein la tronche sans trop comprendre d'où ça vient, c'est fatiguant pour les yeux et dès le 1er boss, ça l'est carrément pour les nerfs. A partir de ce moment il ne s'agit plus de s'agiter dans tous les sens  mais bien de comprendre le fonctionnement de l'armure de Sam (entre nous