Test

Le retour de la critique DoritosJe vous le confesse, mes premières heures sur le jeu ont été laborieuses. J'avais cette joie de retrouver cette unique touche Naughty Dog : direction artistique fabuleuse, animations au poil et la promesse d'une grande aventure. Pourtant j'ai vite déchanté. Apres un prologue qui a quand même réussit à m'arracher une larme, 0 sur l'encéphalogramme et
Kept you waiting ?Quel est ce petit ange facétieux qui se permet de piquer la réplique de Solid Snake ? Il y a de fortes chances que nombre d'entre vous ne sache absolument pas qui est ce chérubin angélique. Pensez-vous, avec seulement un titre sortit il y a 25 ans, d'une difficulté homérique qui plus est, Pit le héros du Kid Icarus original était tombé dans les limbes des personnages
Je t'aime, moi non plusPourquoi suis-je allé au bout de cette aventure? Pourquoi ai-je perdu plusieurs dizaine d'heure de ma vie sur un jeu de merde, me demandais-je en me regardant dans le miroir de ma salle de bain ? Le constat était amer. Non seulement le marketing d'Ubisoft avait violé mon intégrité, mais j'ai été trahi par la plupart des personnes qui ont fait la critique du titre et
Tu aimes les films de catcheurs?Pour respecter l'ambiance du jeu je vous annone une critique pleine d'espagnol amigo. Si toi aussi tu as été traumatisé par ton prof d'espagnol (oui c'est une règle : tous les profs d'espagnol sont mauvais), continues malgré tout : Guacamelee va te réconcilier avec l'espagnol.Un pourrait résumer Guacamalee à une immense lettre d'amour aux jeux vidéo de
Salut bande de tarés, c'est super l'après-midi.Si toi aussi tu as grandi dans les années 80 il y a de forte chance que tu sois touché en plein cœur dès les premières minutes de jeu. Alors que tu regardais un College fou fou fou le mercredi matin tu te disais : « Bon sang ! Que moi aussi j'aimerais être un étudiant japonais en uniforme ». Oui chez toi le jeune de la génération club
From Columbia, with loveL'histoire de Bioshock commence par la découverte d'une ville. « Est-ce le paradis » demande Booker Dewitt, votre avatar ? « Non » lui répond un passant. « Mais c'est ce sans doute ce qui s'en approche le plus ». Arrivé sur Colombia pour remplir un contrat, « Bring us the girl, wipe away the debt »,  le moto de cette aventure semble tout droit sorti
Dès les premières minutes nous sommes happés dans l'univers steampunk  à la direction artistique phénoménale. Arkane a situé l'histoire à Dunwall, ville à la croisée de la capitale des Gaulles d'où est originaire le studio et d'une Londres victorienne. Dunwall l'arrogante, la décadente qui sort d'une période de prospérité liée à la découverte des propriétés surprenantes de
 Une après-midi chez Sony Sant Monica....Je nous revois encore lors de l'annonce de ce nous volet : quoi ? Encore ? Et une un épisode se déroulant chronologiquement avant en plus ?  Cette nouvelle mode, relativement de merde si vous me permettez l'expression, qui consiste à surfer sur le succès d'une licence pour encore racketter les fans à moindres frais m'indigne un tant soit peu. En
FurieuxParler en toute objectivité de ce titre s'annonce comme une gageure. Pensez-vous. La saga Metal Gear est celle qui me fait rêver depuis plus de 20 ans et je voue un culte aux Platinum bad boyzs d'Osaka que je considère à titre personnel comme LE meilleur studio japonais du moment : chez Platinum on fait avant tout des jeux, avec un vrai gameplay, sans fioritures et où le skill du
 Devil May Cry est une série qui n'a jamais vraiment su survivre au départ de son créateur. Le « badass » Kamiya qui enfantera la bimbo bayo des années plus tard avait réussi le tour de force de dynamiser le beat them all 3D comme aucun jeu ne l'avait proposé avant. Sorti en debut d'une PS2 qui manquait cruellement de titres majeurs, le DMC originel allait marquer toute une génération