Billet

Ce FREAKING HUGE SPOILER ALERT vous est offert par la boucherie Sanzot, inspiring prank calls before the Tube Bar did. Oh, and also meat. Il y a des moments dans notre individuelle existence dont on ne se remet jamais vraiment. Ceux qui nous prennent par surprise et affolent en l'espace d'une seconde les compteurs de tous nos sens, ceux qui donneraient bien envie de payer des royalties aux
Ok, tout le monde le sait, Assassin's Creed III est par définition un jeu d'assassinat, duh. Mais avant d'en appeler au Captain Obvious, laissez-moi préciser mon propos : si l'on trucide du red coat, découpe du WASP et tranche de l'emperruqué à tout va, le dernier né du plus canadien des studios français propose également une inattendue relecture du mythe Œdipien au travers d'un
 Autant poser d'emblée le décor : je suis une vilaine raclure d'intégriste atrocement réfractaire aux doublages, voilà c'est dit. Autant que je m'en souvienne, j'ai toujours eu en horreur les affreuses localisations françaises, que soit au cinéma, à la télévision et évidemment dans le jeu vidéo (mais celle là vous l'aviez venu venir), mais le cas de ce dernier est encore plus
Certes, L.A. Noire n'est pas exempt de reproches, et il est clair que le dernier Rockstar (ou Team Bondy si vous cherchez la petite bête) a reçu un accueil mi-figue mi-raisin de la part des journalistes comme des joueurs. Néanmoins, derrière son gameplay redondant et une intrigue principale sans réelles surprise, le Los Angeles de 1947 dans lequel évolue Cole Phelps et ses nombreux