Poisseman
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Billet
Oui, j'en ai marre d'acheter un jeu au prix fort et de le voir revenir moins d'un an plus tard dans une version plus complète et à tarif réduit. Avant, on achetait un jeu finalisé de A à Z, sans nous demander de repasser à la caisse; de nos jours, on nous livre un soft non-terminé.
Une année très riche que voici (laquelle vit le jour de la PSP) avec un choix bien difficile à établir et d'excellent jeux que je laisse sur le carreau - tels Haunting Ground, Jak X, Metal Gear Acid ou encore Radiata Stories - pour n'en garder que dix. Un grand cru donc, dont suit ici ma sélection:
Des suites, des suites, et rien que des suites (ou presque) dans une année certes riche mais pas très inventive au vu des sorties. Pas grave, car on avait quand même de quoi bien s'amuser sur nos PS2, Gamecube, Xbox et Game Boy Advance, les développeurs maîtrisant alors parfaitement chacune d'elles.
Cette année-là marque l'affrontement de trois constructeurs aux machines de puissance quasi-égale pour beaucoup de titres multi-plateformes, mais les exclus restent de bien belle qualité. Sony lance un accessoire casual - l'Eye Toy - et Nokia son fameux N-Gage. Et moi, je jouais à quoi?
Et une année où la Playstation 2 régna en maître, entre la mort prématurée de la Dreamcast et l'arrivée à pas feutrées de la XBox et de la Gamecube. Les jeux originaux partagent le haut de l'affiche aux côtés de suites d'excellente qualité, et le téléviseur restait constamment allumé pendant que je jouais à ça:
Gros fan de la série Assassin's Creed, je me suis intéressé au jeu que l'on trouve sur le réseau social par pure curiosité... et continue à y faire un tour chaque jour. Un jeu autre que Les Sims, Farmvile ou les Schtroumpfs sur Facebook, c'est possible (et en plus, c'est trop bien).
Après une première année pas très top côté jeux, la console de Sony nous fournit maintenant un grand nombre de hits originaux et exclusifs, mais est toujours au combat avec une Dreamcast mal en point qui ne veut pas se laisser mourir. Résultat, des titres forts pour le plus grand plaisir des gamers.
Cela faisait pas mal de temps que j'avais arrêté la lecture de ce magazine tombé entre de mauvaises main, mais l'abonné que j'ai longtemps été ne pouvait pas passer à côté du numéro de fin. Alors, je l'ai acheté, une ultime fois.
Cette année-là, la Dreamcast accumulait les hits sans rencontrer le succès qu'elle aurait mérité alors que la Playstation 2 débarquait en force avec bien peu de gros titres au démarrage. Sa grande soeur, elle, continuait à nous émerveiller dans un début de millénaire sous le signe de la transition et des survival-horror. En 2000 moi, je jouais à ça:
Cette année là, Sega sortait dans nos salons une console plus puissante qu'une borne d'arcade, la Playstation se dotait de nouveaux méga-hits exclusifs alors que des animaux transférables entre Game Boy se présentaient enfin en Europe. Et moi, je jouais à ça: