Test

Confier au jeune studio Level-5 le développement du huitième épisode de la série RPG légendaire qu'est Dragon Quest, voilà un pari que Square Enix a relevé et brillamment réussi. Volet charnière qui plus est, parce qu'il marque l'arrivée en Europe d'un monument né en 1986, père du J-RPG et si populaire que le gouvernement japonais a dû voter une loi interdisant le lancement d'un
Hideki Kamiya, le papa du démoniaque Dante, du cinéphile Joe et de l'écologiste Amaterasu, revient sur le devant de la scène du beat'em all avec la sulfureuse Bayonetta. L'un des fondateurs du nouveau studio Platinum Games (qui nous a déjà gratifié début 2009 du déjanté et sanguinolent Mad World) nous montre une fois de plus sa maitrise du gameplay propre à ce genre, et l'amour qu'il
Après un Dark Cloud quelque peu raté mais aux idées intéressantes, Level-5 a acquis une certaine crédibilité et un certain respect chez les RPGistes, avec deux derniers jeux aboutis : Dark Chronicle et Dragon Quest : L'odyssée du roi maudit, dans lesquels le studio japonais a su prouver sa maitrise de la technique du cell-shading. Contrairement à d'autres RPG, l'aventure ne débute pas
Après deux épisodes de Viewtiful Joe particulièrement réussis, et avant de mettre la clef sous la porte, le studio Clover nous gratifie d'un magnifique jeu, comme certaines consoles en fin de vie ont tendance à donner avant de rendre l'âme. Bienvenue dans un monde enchanteur, poétique, onirique, coloré, calligraphié, sentant bon la nature et l'encre de Chine.  L'épée Tsukuyomi, qui