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C'est la question que je me pose en ce moment.Pour resituer le contexte, je vous invite à lire mon article sur mon amour pour les consoles malmené : Un désamour pour les consoles est-il possible ?Mais globalement, je suis un joueur console de la première heure, qui s'est naturellement porté sur le gaming PC étant adepte du hi-tech, j'ai toujours eu une config décente mais n'ai ressenti
Artwork réalisé par SteelfreemcCet article fait suite à une première partie partie visible ici : Partie 1  Samedi 3 août 1996.La fin de semaine fut longue. Le jeu était sorti le jeudi 1er août et il me fallait aller à Micromania et je ne pouvais pas avant ce samedi-là. A cette époque, je jouais tout le temps avec un pote, il n'avait pas pu venir avec moi mais lorsque je suis arrivé
Artwork réalisé par  CrescentDebris .Voilà, autant être clair dès le début, cet article va s'épandre confortablement dans un nid douillet de nostalgie aux arômes délicieusement vintage.On parle souvent de retrogaming, on parle souvent de next-gen, on parle aussi souvent de jeux indé, mais combien de fois les joueurs prennent-ils le temps de raconter vraiment et précisément une
Petit topo de ma situation.Je suis gamer depuis ma plus tendre enfance. C'est une passion que j'ai chevillée au corps et qui malgré ma plongée dans le monde adulte et les responsabilités qui en découlent ne m'a jamais quittée. J'ai 31 ans, une petite fille qui vient d'avoir un an et pourtant je n'ai rien perdu de ces émois de jeune gamer.J'ai attaqué à l'âge de 4 ans avec une console
Le reboot.On commence à connaître le phénomène. Initié il y a quelques années à Hollywood par des scénaristes en mal d'insipration, il a gagné ses lettres de noblesses avec quelques perles cinématographiques puis a commencé à gangrener d'autres médias tel que le jeu vidéo.Soyons clair, c'est un procédé qui par essence manque d'ambition et qui, galvaudé par le nombre incalculable
Virage à 180°Oui, voilà 10 ans que le tout premier Red Faction est sorti, sur PS2, déjà développé par le studio américain Volition et éditée par le géant THQ. A l'époque les développeurs présentaient déjà cette feature, plutôt révolutionnaire en 2001, de pouvoir détruire une grande partie des décors.Et durant ces 4 épisodes, Volition a conservé cette marque de fabrique qui
Un casting gratinéSi jouer à Shadows of The Damned peut se faire par inadvertance, au détour d'un rayon de supermarché ou à la faveur d'un vendeur d'enseigne spé un peu trop enjoué, il reste indéniable que le finir revient à adhérer à 100 % à l'univers psychédélique de Goichi Suda alias Suda 51, géniteur du déjanté mais excellentissime Killer7.Et personnellement, j'adhère