Billet

Spidey en mode Carnage 2.0 (par uncannyknack).Il ressemble plus à un mélange Venom/Spawn là-dessus, mais bon, ça reste über classe.
Bonjour camarades passionnés !Je me permets de partager un dossier fort intéressant sur un aspect trop peu analysé dans le jeu vidéo, toujours trop pointé du doigt, comme justification facile de comportements qui tiennent avant tout de cas psychologiques.  C'est long, mais on est dimanche ou en vacances, ça instruit, et ça donne presque envie d'adhérer au NPA, qui doit être le seul parti
Voilà maintenant une éternité que ce blog a été créé, sans que je ne m'exprime des masses sur le média qui intéresse - semble-t-il - en priorité les lecteurs de Gameblog : le jeu vidéo.Alors allons-y, on prend le taureau par les cornes et on se lance dans l'arène, au risque d'y perdre quelques plumes et un semblant de crédibilité.Mon entourage actuel n'étant que rarement réceptif
Tomahawk, sans conteste le projet le plus régulier de Mike Patton (Mr Bungle, Fantômas, Faith No More, etc). Le bonhomme part tellement dans toutes les directions que le simple fait que le groupe soit en encore en vie (et bien vivace) est un exploit. Mais le principal responsable de cette longévité est Duane Denison (The Jesus Lizard), le guitariste toujours là pour amener des idées et
Manhattan-DIY, qu'est-ce que c'est ? Selon les sources de nos sources, il s'agirait d'un duo en provenance de Rouen. On n'en est pas tout à fait certains car des signes troublants semblent indiquer que la mixture chiptune 8 bits / math-rock / noisy post-hardcore ici présentée provienne d'un autre monde, plus exactement d'une exo-planète peuplée d'êtres bipolaires et pixelisés.Le premier
Made Out Of Babies, Battle Of Mice, Spylacopa, etc, la petite mère Noël a bourlingué pas mal et s'est fait une pelletée de potes dans le milieu. Il était temps pour elle de mettre plus en avant son organe à travers un album solo. L'objet voit le jour en 2010, c'était un mardi, mais pas le 25 décembre. Sur ce disque, on nous a signalé la présence de valeureux musiciens : John LaMacchia
On ne l'attendait pas tellement ce disque, enfin je ne l'attendais pas spécialement, n'ayant pas eu d'expérience auditive approfondie sur le groupe en question. C'est l'occasion d'en avoir une avec ce troisième long format des bisontins. Un bloc de quarante minutes, animé d'une puissance démesurée, dévale une pente vertigineuse et prodigieusement accidentée. La chute est contrôlée, un
Tiens, tiens. Les bostoniens nous ont habitué depuis Jane Doe à pondre un album tous les trois ans en moyenne, un rythme de croisière en somme. Et on aura beau dire, la qualité a toujours été au rendez-vous. Quoi qu'il advienne, Converge s'arrache régulièrement les tripailles afin de nous envoyer à chaque offrande une décharge de violence profonde et purement intense. Ce fut peut-être
11 ans de hiatus interminable pour un groupe qui nous aura laissés gisants-là tels des connards émerveillés, décontenancés, ou bien carrément dégoutés par un From Bliss To Devastation qui, quoi qu'on en jacte, débordait de créativité malgré une orientation mélodique planante assumée et joliment assurée. Et voilà qu'on nous annonce soudainement, à grands coups de promo inopinée,
Jack et ses barbus pêcheurs d'eau douce et trouble sont originaires de Besançon, une ville dotée d'une scène énervée ayant accouché de talents non négligeables dans le prisme d'un label DIY local plutôt efficace : Impure Muzik (Sofy Major, Membrane, Brume Retina, Aside From A Day et j'en passe). Le quintet bisontin injustement méconnu dans le monde débarque en 2011 avec un second vrai