Test

Ah, Pokémon X. Si vous me connaissez, et que vous lisez cette critique peu de temps après sa publication, vous savez a quel point j'ai attendu ce jeu, a quel point je m'éclate dessus, et a quel point je vous pourri le fil des statuts avec mes demandes d'échanges, etc... Enfin bref. On est pas la pour parler de mon envie farouche de complèter au maximum le pokédex de cet épisode. On est la
Ah, Assassin's Creed III. J'ai rarement connu des déceptions vidéoludiques, étant donné que je n'achète pas énormément de jeux, et que je prend soin de choisir correctement ceux ci. A part Muramasa peux être, ne pouvant pas savoir qu'il serait aussi répétitif, et m'étant fait charmer par des graphismes magnifiques, je m'étais retrouvé devant un jeu que j'avais trouvé profondément
La version avec les screens et les vidéos est disponible sur le blog. Minecraft est un phénomène vidéoludique absolu. Un des plus grands cartons commercial de ces dernières années, extrêmement inattendu. Comme ça, Minecraft ne fait pas revez. Des cubes, des gros pixel, et un jeu bac a sable, teinté de survie. Sauf que ça marche. La preuve, Minecraft, c'est 11 millions de copies PC, 10
La version avec images a été publié sur le blog en mars 2013. Vous pouvez y accéder ici.Tout le monde le sait ici, quand on parle de jeux indépendants, un des premiers noms qui nous vient en tête, c'est Braid. On m'en a dit énormément de bien, de ce jeu, pour son graphisme, son histoire aux multiples sens de lecture, apparemment extrêmement bien écrite, et son gameplay ingénieux.
Ah, Proteus. Ce jeu, cette énigme. Ce jeu qui me pose une question cruciale, ou est la limite du jeu, l'importance de l'interactivité. A partir de quoi peut on qualifier un logiciel de jeu. Je n'ai pas la réponse, et je ne sais pas si je l'aurait un jour. Et je ne sais toujours pas si Proteus est une escroquerie ou une expérience dont le jeu vidéo a besoin de connaitre pour avancer. Je ne
Ce test est issu de mon dossier sur Amanita Design, visible ici: http://www.gameblog.fr/article-lecteur_2112_amanita-design-createur-de-merveilles-visuelles Nous allons traiter du dernier jeu en date d'Amanita Design, le fantastique Botanicula. Après le succès de Machinarium, le jeu était plutôt attendu, et il n'a pas déçu.Fini les univers mécaniques, Jaromir Plachy prend le pouvoir pour
La version avec la musique et les images est disponible sur le blog Ah, FEZ. Quel jeu. Quelle baffe. Ce jeu m'a mis une claque phénoménale, à quasiment tous les niveaux, excepté sur la partie narrative, mais je développerai dans la suite de cette critique. Pour vous placer le contexte, car l'appréciation d'un jeu dépend forcement du contexte, j'avais déjà longuement entendu parler de FEZ
Version avec les screens et la musique disponible sur mon blogVous n'êtes pas sans savoir que le humble indie bundle 8 était assez exceptionnel. Il contenait de nombreux jeux de très bonne qualité, dont Little Inferno (dont la critique à déjà été publié), Proteus, Thomas was Alone, Hotline Miami, et un certain Dear Esther. Crée par le petit studio The Chinese Room, le jeu m'a intrigué,
Je n'aurais jamais acheté Little Inferno s'il n'avais pas été dans le dernier humble indie bundle. Et cela a cause de son prix excessif, et son peu d'intérêt. Un intérêt que je n'avais en réalité pas ciblé. Ayant fini le jeu, je peux maintenant comprendre pourquoi beaucoup de gens apprécient ce jeu et que d'autres pensent que les developpeurs se moquent du monde. Pour ma part, je penche
Assassin's Creed Revelations aurait pu s'appeler autrement. Il aurait pu s'appeler Tourisme Simulator. Mais un tourisme simulator extraordinairement bien maitrisé, a mon sens. Du moins dans sa partie graphique et artistique. Mes jeux favoris, ce sont ceux qui me font voyager, indéniablement. C'est pour cela que j'ai tant aimé Okami, Xenoblade et Endless Ocean, et que j'ai détesté FF XIII.