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Parmi les jeux AAA de cette 7ème génération, rares sont ceux dont la cohérence arrive à la cheville de Dishonored. Si certains jeux aux aires condescendants ont une espèce d'immunité des critiques malgré leur banalité cachée derrière un enrobage attirant (salut Bioshock Infinite), les mettant à l'abris des quolibets journalisitiques malgré leurs piètres game-design et cohérence,
S'il y a bien un jeu que j'attendais comme j'en n'avais rarement attendu, c'est bien Bioshock Infinite. A l'époque de la première vidéo de gameplay, je venais de sortir du premier Bioshock. Je l'avais vécu que plusieurs années après sa sortie, mais ça n'a rien enlevé à sa grandeur. Bioshock, le premier, est un chef d'oeuvre. L'ambiance visuelle et sonore, l'immersion, le rythme, tout y
Les jeux de guerre ont beau avoir le vent en poupe ces dernières années, il n'en demeure pas moins que leur approche du conflit ou encore des questions morales liées aux actes du joueur restent proches du néant le plus total. Comme aucun jeu de guerre ne le fait, Spect Ops The Line propose au joueur, en toute subtilité, de rélféchir à ses actes en tant que personnage du jeu certes, mais
Rares sont les jeux d'une telle générosité. Une générosité couplée à une qualité à bien des égards. AC III a enfin su transcender AC II pour nous offrir, enfin, une vraie suite depuis le deuxième opus.Brotherhood avait su tenir sa place de AC 2.5 compte tenu des nouveautés intéressantes qu'il apportait, notamment son système de recrutement d'apprentis Assassins, son système
Il est des jeux possèdant une puissance immersive conséquente. Sleeping Dogs en fait parti. Abandonné par Activision et repris par Square Enix quelques temps après, le bébé de United Front Games a su rester le même, et même s'améliorer pour notre plus grand plaisir.Le joueur incarne Wei Shen, un flic fraîchement débarqué de San Francisco (où il avait émigré) pour rentrer dans son
"Rockstar don't make bad games"Dixit Oskari Hakkinen, responsable du développement des licences chez Remedy (les créateurs de Max Payne). En effet, chez Remedy, ils n'ont pas été sans donner leur avis en collabrant avec Rockstar sur le troisième opus. Même si pour autant, il ne s'agit pas de développement, juste d'une relation professionnelle et surtout amicale entre les deux groupes de
  Metal Gear. 1995. Afrique du Sud. Outer Heaven. MSX2. 1987. Nombre sont ceux ayant découvert la saga Metal Gear par Metal Gear Solid. L'une des sagas les plus vieilles, datant de plus de 20 ans aujourd'hui, et les plus respectées de l'histoire du jeu vidéo. Dans l'absolu, Metal Gear n'est pas capital, voire pas important à la compréhension de la  la totalité de la saga, des rappelles
The Boss Risque de Spoil plus ou moins sévères.Parmi les personnages les plus marquants de la saga Metal Gear, The Boss -aussi appelée The Joy, ou même Voyevoda pour "seigneur de guerre" dans les pays de l'Est- est indubitablement dans le haut du panier. Parmi les personnages les plus charismatiques, respectés et respectables, The Boss est clairement en tête de tous. Soldate légendaire,
The Sorrow   Je ne m'attarderai pas sur le scénario du jeu, ce n'est pas le but. Pas ou peu (donc attention risque de spoil) de précisions scénaristiques pour éviter tout spoil, mais du jeu en lui même. Mon objectif est juste de retranscrire modestement, de parler de la particularité des Boss metalgeariens, dans leur phase de gameplay, qui sortent de l'ordinaire du jeu vidéo.  Arrivé
Ca va spoiler méchamment en ce qui concerne ce boss, vous êtes prévenus. The End  Souvent effacé par le boss culte du jeu vidéo, j'ai nommé Psycho Mantis, The End n'en est pas moins respectable.Un boss culte trop souvent oublié à défaut d'être souvent mal connu voire inconnu. Mais pour peu qu'on l'ait joué, qu'on soit un joueur un tant soit peu passionné, on ne peut vraisemblablement