Test

Brisée, Basel, la haute tour de métal, Babel futuriste rayonnant dans le soleil, promesse d'immortalité pour les hommes mais poison pour leurs âmes teintées de pêché originel. Grippés, ses rouages. Détraquée, sa mécanique. Son Dieu de métal n'est plus qu'un tyran aveugle, un Principe hermétique aux voies plus impénétrables que jamais, implacables et absurdes. Le Destin est écrit
Bon, hé, oh, ça va, on a fini de critiquer mon titre, un peu, ou pas ? En réserve, j'avais aussi : "il a Oxenfree, il a pas tout compris" et "Life is Stranger Things Before the Storm SOS Fantômes Edition". Ainsi que, plus trivialement : "P*TAIN MAIS JAMAIS TU VAS LA FERMER, TA GU*ULE ? !", mais c'eut été un tantinet vulgaire, n'est-ce pas ? Bref. C'est dire si le choix a été difficile.
Sur l'échelle de la séduction, Sherlock Holmes : the Devil Daughter, c'est le vieux beau de cinquante ans qui drague de la première année toute fraîche dans les amphis de fac. Vivelle dans les cheveux, coupe en pétard à la Bieber, il fait tout pour faire oublier son âge, ses rides et ses tempes grisonnantes : baskets fluos, tee-shirt décontracté, jean taille basse trop étroit – et
Parlons échange équivalent.Au royaume des walking simulators, il y a ceux qui voudraient, vraiment, de tout leur coeur, mais qui n'ont pas l'étoffe, et ceux qui ne se contentent ni de vouloir, ni de pouvoir, mais qui vont au-delà, et qui vous y emmènent en un claquement de doigt - ou c'est tout comme.Autant mettre 5 euros dans Gone Home, c'était déjà presque trop, alors (et bien qu'il m'en
Comme beaucoup d'élèves moyens, mais studieux, Life is Strange fait de son mieux, il travaille avec régularité, ne ménage pas ses efforts, sait sourire quand il faut pour plaire au professeur, au point que même si ses résultats ne suivent pas, on a envie de gonfler ses notes pour l'encourager. Il a beau être maladroit, tâtonnant, excessif, il n'en est pas moins touchant, un peu comme un
Plébiscité par la presse comme par les joueurs nourris aux bols de corn-flakes à 5 euros, Gone Home repose tout entier sur la bonne volonté de son équipe de développement et sur la sincérité de leur petite entreprise. Le choix du sujet, à contre-courant, est aussi louable que touchant – pour ne pas dire militant, dans un domaine créatif qui pêche encore trop souvent par manque de
Virginia commencé... et terminé dans la foulée. Verdict ? Waow. Juste waow. Je n'aurais pas pu choisir jeu plus différent d'Uncharted pour poursuivre mes aventures next gen, mais c'était le but et il est atteint dans les grandes largeurs. Et si les premières minutes souffraient de la comparaison, de par leur mollesse et leur dirigisme (on est loin de Nathan Drake qui saute de falaise en
Bon ben le verdict est tombé : je ne suis pas (complètement) hipster. Ouf. Il s'en est fallu de peu.Car oui, j'ai joué à Home, le fameux jeu indé en pixel art qui a défrayé la chronique en son temps. Je l'ai même rushé comme un sagouin en mode "Symphony of the Night" tant je suis un gros noob dans le registre indé... et au final, ben... ce qui devait arriver arriva : je n'ai pas frémi,
Alan Wake voulait être beaucoup de choses, "quand il serait plus grand".Ecrivain, déjà, ça, c'est sûr, mais pas que.Il aurait aussi voulu être "jeu d'ambiance", être "survival horror", être le pendant américain des Silent Hill d'antan.Sauf que voilà, Alan est maladroit, il ne sait pas très bien comment s'y prendre ni par où commencer. Il touche un peu à tout, sans trop de conviction
   Bonjour.Non, j'déconne. Les plus jeunes d'entre vous ne me connaissent peut-être pas, dans la mesure où j'ai publlié mon premier test y'a un mois et demi, et que les gens de la plèbe se reproduisent comme des lapins, vu qu'ils n'ont que ça à foutre pendant les pannes de courant. Ben oui, y'a plus TF1. Je suis Blacklaboule, le président de l'ABJVPM, l'Alliance Blacklaboule pour un