Billet

Vu que je suis un peu au point mort niveau boulot et que la période s'y prête, je vais faire mon récap' top of the best des jeux auxquels j'ai pu jouer cette année et qui m'ont laissé un bon souvenir. Les jeux ne sont pas forcément sortis cette année vu que j'ai un goût prononcé pour les jeux d'occasions et l'import anglais qui bradent les jeux à -75% au bout de 2 mois (vive l'Europe).1)
Tout juste découvert par le biais d'une connaissance, je viens de me chopper une bonne tranche de rire en mattant le premier épisode des chevaliers du zodiaque abrègé, un montage astucieux de la série animée qui a le bon goût de faire tenir chaque maison du sanctuaire dans un épisode de 5 minutes environ. Le tout est re-doublé par un amateur qui a le bon goût de remanier tout ça pour

Chaos theory

par Perce, 14 avril 2010 Blog
Frappé de plein fouet par une hystèrique fièvre dépensière qui m'a fait acheter bayonetta, brütal legend, darksiders, tales of vesperia, warhammer 40.000 - dawn of war 2 : chaos rising et battlefield : bad company (9€, merci la FNAC occaz) en moins d'un mois, j'ai réussi à trouver la force de terminer 2 de ces jeux alors que j'étais assailli de toutes parts. Le miracle n'a pas eu lieu :
Ca faisait pas loin de 8 ans que ça ne m'était pas arrivé. Ca m'a pris comme ça, au détour du coin journaux de l'Auchan du coin. Faut dire que c'était bien présenté, écrit bien gros, dans une police aux couleurs chaudes avec des mots qui ne peuvent susciter que l'intérêt chez moi : "Super street fighter IV : le test". Oui, ça faisait 8 ans que je ne m'étais pas acheté un CONSOLES+ et
Ca y'est, j'ai lessivé le mode campagne de « Resident Evil 5 » durant ce week-end. Quand je dis « lessivé », ça veut dire fini en mode de difficulté « normal » et re-fini en mode de difficulté supérieur afin de gratter par ci par là quelques succès oubliés en chemin. Je peux donc vous donner un avis sur le jeu : Il mérite vraiment son appellation de « resident evil 4.5 »
Je continue sur ma lancée de détailler mon parcours vidéo-ludique histoire d'occuper ma fin de journée de hum... boulot. Mon enfance ne fut pas malheureuse mais ma frustration de jeux vidéo était grande et une chose que j'adorais faire, c'était feuilleter des catalogues de la CAMIF qui contenaient quelques maigres pages destinées aux jeux vidéo. Bon, à l'époque, ils se concentraient
Grand consommateur de podcasts dédiés jeux-vidéo, chaque semaine je me tape pas moins de 7 émissions audio et vidéo traitant du sujet. "Le cliq" de jeux video.com,l'émission de push-start TV, les 2 émissions de gamekult, le podcast de gameblog (of course), "Warp zone" de jeuxvideo.fr et même "silence on joue" de LibéLabo. Et c'est de ces 2 dernières émissions dont je vais parler car
Parfois quand on vagabonde dans le monde vermeilleux du jeu vidéo, on tombe souvent sur des purs passionnés qui ne se planquent pas, qui n'ont pas peur de crier à la face du monde « Oui, j'aime les jeux vidéo et je t'emmerde » et qui déclinent leur passion sur un plan artistique. J'ai découvert il y a quelques mois, une communauté reculée qui s'adonnait au bead-sprite, c'est-à-dire à
Oui, fallait-il en rajouter ? L'affaire Sony-Gamekult-jeuxvideo.com autour des notes jugées mauvaises par le service presse de Sony du jeu Heavy Rain avait déjà pas mal ébranlée les forums où chacun sortait ses étendards « pro-gamekult » « pro-sony » « pro-mon-site-de-jeux-est-le-meilleur-parce-que » et envenimait peu à peu le débat.  A titre perso, l'attitude de SONY (et
Mes premiers échanges avec une console de jeux ont eu lieu alors que je devais avoir 7 ans. Ma mère et mon futur-ex-beau-père ayant décider de convoler en juste noce dans la région de la choucroute et du riesling, ils m'avaient larguer chez une lointaine tante de ma mère pour une bonne semaine. C'était durant l'été 1984, je peux m'en souvenir parfaitement car le mari de la maisonnée