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Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd aoijdae Je me désatristais tzreijnd
 Je me désattristais comme un petit fou sur Mass Effect 2 (oui, je joue toujours avec au moins 1 an de décalage) lorsque j'entendis la porte sonner : "Tiens mais c'est The Last Story ! Qu'est-ce que tu fais là mémère? C'est qu'on avait complètement oublié ton existence." Qu'on se le dise, jamais l'Occident n'a été aussi puissant que sur cette génération de console ; si puissant qu'il
La Silent Hill peinte par Shattered Memories est sombre, mais finalement peu malsaine, pas trop sanguinolente, ni vraiment effrayante, en tout cas comparée à celle des autres épisodes. C'est parce qu'en réalité, elle porte en elle la marque d'un amour profond qui brave même la mort.
Si les célébrissimes mises en abyme de MGS ont élevé Kojima au rang de maître du game design, il aurait été blessant d'oublier les idées des développeurs d'Assassin's Creed qui, malgré une mise en abyme finalement classique, ont eu l'audace de l'assumer à chaque instant et au-delà des conventions.
Quelle place puis-je occuper dans un monde où le temps me retire sans cesse ce qu'il me donne? Suis-je condamné à un éternel regret, ou existe-t-il une issue par laquelle je puisse vivre avec les autres sans que leurs souvenirs ne me fassent souffrir ?
Il arrive un moment dans le jeu Nier où le joueur est amené à rencontrer un peuple bien singulier. Le roi de la ville de Façade a d'ailleurs su propager un dicton devenu populaire : "Les lois n'ont pas été faites dans le but de contraindre, mais de révéler la liberté."
Si l'on prend quelques genres plus ou moins chronophages, comme les jeux de rôle, d'abord, et certains jeux d'aventure, ensuite ; et qu'on se penche sur leurs structures et leurs mécaniques, on se rend finalement compte à quel point leur cheminement est comparable à la recherche du bonheur.
Les personnes qui ont critiqué Final Fantasy XIII l'ont vraisemblablement surtout fait pour sa linéarité, et son manque de quêtes secondaires, de petits à-côtés. Mais parlons sans détour : FF XIII a enfin su mettre le doigt sur un problème qui gangrenait chaque épisode - et quel soulagement !
Voyager, abandonner ses envies casanières pour découvrir de nouveaux environnements, faire des rencontres ou évoluer dans ses manières d'agir et de faire. Voyager, c'est aussi se rendre compte du temps qui passe et c'est l'occasion de le tromper en prenant de l'avance sur lui.
Shadow of the Colossus et la série Final Fantasy en général abordent tout deux des thèmes comme l'amour ; seulement, l'un est sans doute plus percutant dans son propos que l'autre...